Dernier jour du Mestre Book Fest 2024 avec Mauro Corona

C’est le dernier jour de la deuxième édition du Mestre Book Fest, le festival littéraire promu et organisé par la municipalité de Venise et Confcommercio qui, au cours de ces deux semaines, a attiré des milliers de lecteurs et de passionnés.

Trois événements sont programmés le dimanche 16 juin : le déjeuner avec l’auteur verra la participation de Fabiola Di Sotto au restaurant All’ombra del Gabbiano à 12h30 (via Caneve 2). Largement suivie sur Instagram avec le profil @fabiolavegmamy, avec plus d’un demi-million de followers, Fabiola, avec ses recettes, est désormais une référence pour ceux qui ont choisi de devenir végétaliens et pour ceux qui, tout en restant omnivores, souhaitent en découvrir davantage. les légumes dans leur alimentation et les légumineuses. Son premier et délicieux livre s’intitule “Une cuisine végétale effrayante. Recettes, techniques et préparations pour tous” (Vallardi) : un exemple de la manière dont une alimentation végétale peut garantir une alimentation saine, complète, savoureuse et variée. L’événement est complet.

La santé sexuelle masculine, souvent basée sur des stéréotypes et des légendes plutôt que sur des informations correctes, sera au centre de la rencontre à 18h00 au cloître de M9 : Diego Passoni, voix principale de Radio Deejay, et l’urologue Nicola Macchione en parleront dans le livre “Pénis, masculin pluriel” (éditeurs Fabbri). Les auteurs du podcast “Nos bites – choses entre hommes” évoqueront également l’urgence de mettre à mal une masculinité toxique faite de silence, de honte, de force physique et de normes inaccessibles.

A 21h00, grande finale avec l’écrivain Mauro Corona sur la Piazza Ferretto : écrivain, alpiniste et invité régulier de l’émission “È semper Carta Bianca” sur Rete Quattro, présentera le dernier livre “Le swings”. Le vieil homme se souvient et parle du monde tel qu’il était avant que l’avidité aveugle de l’homme ne le détruise, et ensemble il parle de sa vie, de son enfance et du début de son adolescence, de l’insouciance de trois frères qui alterne avec la violence incompréhensible de la vie familiale. et qui doit se mesurer au tourment d’une communauté, celle d’Erto, accablée par la douleur. Le journaliste Franco Soave modère.

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