Co-Ro Municipal, Italia Viva insiste sur le budget : “inventé et faux”

Co-Ro Municipal, Italia Viva insiste sur le budget : “inventé et faux”
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« C’est toujours bien d’écouter les bons conseils, d’où qu’ils viennent. Alors, quand le conseiller aux finances Maria Salimbenipour protéger son travail et celui du Conseil, a déclaré que le budget est une affaire sérieuse, en conseillant aux autres d’exprimer des compétences et d’acquérir des connaissances sur le sujet, en bons citoyens, nous entreprenons d’étudier, en partant précisément du feedback de ce que Salimbeni elle-même dit textuellement, à savoir : cette année la loi a prévu la nouveauté de « approbation » d’un bilan techniqueprêt dans notre commune depuis octobre 2023 dernier”.

« Les difficultés et les retards dans l’approbation de l’instrument comptable et financier sont enregistrés « en raison des transferts nationaux dont les chiffres ne sont pas connus et dont nous avons dû inventer le budget ». Et étudier, étudier, voici ce que nous avons découvert. Le bilan technique 2024/26 dont parle Salimbeni est préparé par le manager sur la base des informations sur les besoins attendus de chacun des collègues des différents secteurs et, essentiellement, en les extrayant du triennal 2023/25″.

« La règle exige qu’il s’agisse d’un document déjà carré en termes de trésorerie et de compétence dès le moment de sa présentation au Conseil ; c’est-à-dire qu’il doit être équilibré en recourant – si nécessaire – à des réductions de dépenses qui ne concernent pas les fonctions fondamentales de l’organisation. Eh bien, dans des commentaires faisant autorité sur la nouvelle législation, nous lisons que le but du budget technique est précisément de faciliter l’approbation du budget par le conseil municipal en termes”.

“Par conséquent, si l’affirmation de l’édile selon laquelle le bilan technique a été établi dès le mois d’octobre est vraie, le retard macroscopique au-delà de l’échéance de fin d’année ne peut s’expliquer, pour lequel l’attente de l’échéance ne peut plus servir de justification. . approbation de la loi de finances de l’État : une justification qui ne peut être utilisée que jusqu’au 31 décembre ».

« Il s’ensuit queLa déclaration absurde, désinvolte et dangereuse de Salimbeni selon laquelle la municipalité devait « inventer » le budget, ce qui revient à dire qu’un bilan peu fiable, voire faux, est prêt. Pour les retardataires, le Gouvernement a autorisé l’exercice provisoire du budget jusqu’au 15 mars.”

«Cette date n’a pas été respectée non plus commune de Corigliano-Rossanoavec pour conséquence que nous sommes entrés dans une autre phase de gestion provisoire au cours de laquelle les limites de dépenses sont encore plus strictes, car, en principe, seuls les paiements sont autorisés pour des raisons nécessaires ou susceptibles d’éviter un préjudice économique plus important à l’Autorité”.

« Bref, nous sommes confrontés à une situation très délicate, aggravés par d’autres épisodes, déjà signalés par les conseillers municipaux de l’opposition, car jugés contraires aux règles comptables les plus élémentaires. De tout ce qui précède, il résulte que, lors de la réunion du Conseil municipal pour l’approbation du budget, l’Administration devra :

  • justifier sérieusement le retard accumulé, en retraçant et en documentant l’ensemble du processus suivi à partir du bilan technique ;
  • rendre compte des résultats de l’enquête sur les dépenses réalisée à partir du 16 mars, avec certification du gérant et de la Commission des Comptes, que les limites fixées pour la phase de gestion provisoire n’ont pas été dépassées ;
  • justifier de manière adéquate, avec l’approbation de la Commission des Comptes, ces opérations de dépenses imputées anormalement au budget 2024, toutes deux parce qu’elles ont été décidées en 2023 en violation de l’article 183 de la Loi Consolidée sur les Collectivités Locales (TUEL).
    À la fois parce qu’elles ont été résolues en 2024 mais pour payer la consommation ordinaire d’électricité en 2023, avec l’hypothèse de violation de l’article 194 du TUEL (dettes hors bilan) : opérations qui déplacent les dépenses de 2023 vers le budget 2024 avec un impact d’environ deux millions d’euros, curieusement la même somme gaspillée par la municipalité l’année dernière pour des fêtes et animations diverses.

« Bref, dans ce festival d’erreurs, de contradictions, d’inexactitudes, peut-être ce sera au conseiller Salimbeni de démontrer qu’il a étudiéet déployer toutes les connaissances et compétences, là où elles ont été acquises ».

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