Alarme publique, inquiétudes des opérateurs: «Trente va fermer, laissant place à la dégradation»

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Parler de “strabisme» dans la vision de l’avenir de la ville de Trente, les associations professionnelles des bars et restaurants, membres de Confcommercio Trentinoqui a présenté ce matin les préoccupations de l’ensemble du secteur face aux restrictions signalées par la Surintendance Provinciale concernant de nombreux stands et terrasses municipales : « loucher » parmi les objectifs d’un ville moderne, ouverte, vivante, capable d’offrir des services aux citoyens, touristes, étudiants, travailleurs et une rigidité qui risque de bloquer le développement du centre historique, avec de graves conséquences sur les entreprises et l’emploi.

Étaient présents à la conférence de presse de ce matin le président deAssociation des entreprises publiques du Trentin Fabia Roman, le président de la section Trente de l’association des restaurateurs du Trentin Francesco Antoniolli et pour les entreprises publiques Walter Botto.

«Nous avons besoin d’un signal fort et décisif – Le président Roman commença : vers un type de développement de notre ville qui nous permette de continuer à travailler avec sérénité et optimisme, en investissant, en produisant des revenus pour toutes les industries qui y sont liées, en développant une ville moderne et tournée vers l’avenir”. Rappelant l’importance des stands, comme espace également pour la communauté et pour le tourisme, Roman a expliqué : « C’est précisément à ce stade que nous demandons à tous ceux qui sont impliqués dans ce match [la stesura del nuovo Regolamento comunale], en premier lieu les institutions mais aussi les citoyens et les responsables administratifs, pour partager une vision prospective du développement de notre ville. Une ville belle et vivante, pas une ville belle mais terne. Non pas une ville musée mais une ville d’art, où les beautés culturelles et artistiques sont exposées, soignées, mises en valeur aux yeux des citoyens et des touristes. Mais une ville où les citoyens et les touristes eux-mêmes trouvent des espaces, des structures, des clubs et des magasins. Nous assistons avec une certaine inquiétude à une forme de louchement dans notre regard vers l’avenir : d’une part, il y a le désir d’accréditer toujours plus Trente comme une ville touristique, culturelle, alpine, ouverte, pleine d’événements importants, de festivals, de sports des événements… une volonté que nous ne pouvons que partager en tant qu’opérateurs économiques. Mais d’un autre côté, on assiste en réalité à une fermeture et à une tentative de « geler » la ville dans une immobilité dangereuse. Nous voulons donner à notre ville une opportunité de croissance, mais lorsqu’il s’agit de mettre à disposition les outils nécessaires à cette croissance, des initiatives telles que celles des stands et du dehors sont entravées.

Basculer l’audio ci-dessous

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«Aujourd’hui, nous demandons – déclare Francesco Antoniolli – le courage de regarder vers l’avenir et de penser la ville de Trente dans une perspective véritablement européenne et internationale, la capitale du Volontariat, accueillante mais habitée et vivable. Un Trente ouvert aux grands changements que connaissent nos sociétés, nos consommations et nos habitudes. Dans un contexte, alpin, qui doit composer avec un climat continental : rappelons que les saisons intermédiaires de Trente ne sont pas les mêmes que celles de Naples, Catane ou même simplement Rome et Florence. Il est nécessaire de nous équiper pour offrir aux clients et aux touristes un environnement confortable pour se retrouver et passer d’agréables moments, à la fois formels et simplement conviviaux, pour faire la fête ou pour un agréable apéritif.

Nous aimerions qu’il n’y ait aucune interdiction à de nouvelles façons de vivre dans les théâtres, même avec des structures nouvellement conçues, modernes, belles, durables, attentives à la consommation d’énergie et aux déchets, comme le sont les nouvelles structures que le marché propose aujourd’hui. Pas seulement les parapluies classiques, comme on le voit aujourd’hui sur les cartes postales d’il y a plusieurs décennies. Il s’agit d’une orientation cohérente avec un certain type de développement que la ville de Trente a décidé d’entreprendre, également grâce à l’administration municipale. Administration municipale à laquelle nous demandons d’avoir plus de courage et, avec la Surintendance et les associations patronales, de concevoir une ville nouvelle et plus accueillante”.

“Nous devons considérer – a ajouté le président de l’association des restaurateurs du Trentin, Marco Fontanari – que le monde de la restauration et des établissements publics, qui représente au niveau national 90 milliards d’euros de production et 35 milliards d’euros de valeur ajoutée, avec plus d’un million d’employés et des milliers d’entreprises, grandes et petites, souvent familiales, qui garantissent le promotion et valorisation du patrimoine gastronomique et viticole italien. Nous devons protéger et promouvoir cette richesse, et en particulier les entreprises qui souhaitent investir et se développer. Nous devons également considérer l’importance des services publics et des entreprises de restauration pour protéger nos centres-villes et contenir le dépeuplement et la dégradation qu’encouragent les rues fermées.».

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