le Conseil d’Administration donne une motion de censure au secrétaire général Andrea Varese et il démissionne

Ils devraient avoir désigner le successeur de Massimo Lapucci à l’Ogr («défenestré» par la direction du Crt lors de l’arrivée de Palenzona il y a un an) et au contraire les conseillers ont découragé Andrea Varese, le nouveau secrétaire général de la Fondation Turin. Hier au siège de via XX Settembre, quelques minutes ont suffi Conseil d’administration pour déclencher un tremblement de terre fini avec le La démission de Varèse et la porte claquée par un homme très énervé Fabrizio Palenzone. Le Conseil d’Administration s’est en effet transformé en un règlement de comptes. La semaine dernière, Varèse a signalé à l’Autorité de Surveillance du Mef l’existence d’un “pacte” entre conseillers (la Fondazione di Domani) qui visait à gérer les nominations et les décisions de manière autonome.

La « découverte » de la « fondation dans la fondation » conduit à la démission de Corrado Bonadeo, un ancien loyaliste de Palenzona qui avait inspiré “les partisans du pacte” du Comité directeur. Hier, le Conseil d’administration, réuni pour les nominations de l’OGR, s’est âprement disputé avec Varese, affirmant que le secrétaire “n’aurait pas dû porter plainte auprès du Mef sans passer au préalable par le Conseil d’administration”. Dérangé, se sentant entourésurtout par l’insistance des attaques, par Catherine Bima et aussi de Anna di Mascio, et donc découragé, Varèse estime que la relation de confiance n’existe plus et jette l’éponge en démissionnant. En moins d’un an de gouvernement opérationnel, Andrea Varese, né en 1964, ancien directeur de Fiat puis d’Unicredit, quitte un siège très convoité devenu une poudrière.

Après la longue bataille lors du dernier vote pour la présidence entre Fabrizio Palenzona et Giovanni Quaglia, qui s’est terminée du 10 au 7 avril derniers, l’ambiance à la fondation ne s’est jamais vraiment calmée. Le président Palenzona est souvent en voyage et hors du Piémont pour des réunions et des affaires. Varese, qui n’avait jamais occupé de fonctions dans des organismes philanthropiques ou institutionnels, s’est retrouvé sous le feu du conseil d’administration et du conseil d’administration de la fondation. Et la mise en place sous son nez d’un « pacte » au sein de la fondation, bien que découvert à temps, n’a certainement pas aidé son leadership.

La Fondation Crt devra maintenant, sauf arrière-pensée, trouver non seulement cela un nouveau guide pour Ogr, un investissement de 100 millions pour la ville, mais pour l’ensemble de sa structure. L’asbl gère plus de 3 milliards d’investissements et apporte environ 70 millions d’euros dans le domaine. Elle détient des parts dans Unicredit et Mundys, et récemment également dans Banca d’Asti et Banca del Fucino. Sous la direction de Varese et Palenzona, la Fondazione Crt a également acquis une cave innovante dans la région d’Alexandrie, pour 20 millions d’euros pour Enosis.

Le mécontentement et les maux de ventre grandissent parmi les citoyens notables. Parmi ceux qui n’ont pas apprécié la bataille acharnée d’il y a un an pour la conquête d’une institution qui, bien que carrefour des transactions financières nationales, reste une entité philanthropique. Hier, peu avant la réunion enflammée du conseil d’administration au cours de laquelle il a quitté Andrea Varèse le renouvellement du conseil d’administration s’est produit tout sauf un signe de paix institutionnelle. Les conseillers sortants ont stoppé presque toutes les indications venues de la politique et des partis. C’est pourquoi Enzo Ghigo, ancien gouverneur du Piémont, soutenu par Cirio, et Annalisa Genta (Frères d’Italie) ont été rejetés. Gianfranco Morgando, parmi les fondateurs du Parti démocrate, et indiqué par Stefano Lo Russo, n’a pas été élu.

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