25 avril : Scurati obscur ? Mieux vaut résister…

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De la controverse sur la non-diffusion du Le monologue de Scurati tout s’est passé, de la volonté d’économiser les quelques euros convenus à la censure fasciste (Pourquoi pas la Russie, ou la Chine, ou une centaine d’autres États qui la pratiquent ?).

Personne n’a dit une chose : le monologue est vraiment mauvais, voire horrible. Un Taze-bao vocal plein de clichés, platitudes éculées que tout le monde connaît depuis le CP et sur lesquelles tout le monde, à droite comme à gauche, s’accorde ; enfin une attaque gratuite et vulgaire contre le gouvernement qui ne fait rien il s’agit de fosses ardéatines, de cadavres torturés et doublé, décapitation d’enfants et autres atrocités.

Et c’est étrange, car Scurati est un bon écrivain et « (NDLR – le titre de son libre) n’est peut-être pas un chef-d’œuvre du siècle comme l’homme qu’il décrit dans le livre, mais il n’en reste pas moins intéressant. Les partisans, dont nous nous souvenons de toutes les sphères politiques et militaires, y compris la monarchie et le fascismece ne sont pas seulement les mouchoirs rouges que revendique la rhétorique de gauche.

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C’est vrai, la Résistance il a tenté courageusement et parfois impitoyablement de rendre la vie difficile aux Allemandsprincipalement SS, qui dans leur idéologie prêtaient au mythe des dieux nordiques inculqué par la propagande nazie, se considéraient également comme des demi-dieux.

Décideurs de la vie et de la mort de l’Untermenschles sous-hommes de la catégorie desquels les Italiens faisaient également partie de leur trahison, présumée ou non, mais techniquement.

Le monologue aurait pu parler, comme le disait un bon historien comme Scurati, de en hommage aux citoyens et soldats italiens de toutes convictions politiques qui a contribué, martyrisé, à la paresseuse avancée américaine.

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Au lieu de cela, notre oui est obscurci par l’idéologie déversé dans un livre de recettes d’horreurs que tout le monde connaît et rejette sans réserve et mordant le gouvernement cela n’a rien à voir avec la censure.

En fait Meloni, qui déteste la censure après ayant été occulté pendant des décennies par la gauchel’a posté sur son site.

Peut-être que les fonctionnaires assidus de la RAI, pleins de flatteries envers le pouvoir, n’ont pas eu le courage de dire à Scurati : “tu as écrit des conneries ennuyeuses”Et ils l’ont jeté sur l’argent, tombant dans le ridicule. Mais c’est une hypothèse, bien sûr. C’est juste une considération personnelle.

Quant à la Résistance, nous continuons à résister, parce que selon mon avis très personnel, je crois que nous sommes encore envahis, et pas seulement de ce segment de citoyens non-européens qui commettent des crimes et qui, une fois radicalisés, semblent être encore pires – je pense – que les SS, mais de tout le monde ceux qui utilisent l’Italie comme papier toilettey compris la BCE.

Je soupçonne que l’envie du Bel Paese a quelque chose à voir avec cela. La même envie qui transparaît à chaque page de Scurati pour l’Homme du siècle. Bonne fête.

Edité par Roberto Conci – directeur éditorial

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