L’été est à nos portes, mais tout est au point mort à la plage

L’été est à nos portes, mais tout est au point mort à la plage
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Nous sommes proches de la onzième saison estivale consécutive au cours de laquelle la côte Latina pourrait être décorée du drapeau bleu, la prestigieuse reconnaissance qui certifie la qualité des plages et des eaux de baignade, à laquelle s’est également ajoutée ces dernières années la reconnaissance des pédiatres pour enfants -des plages conviviales.

Des hommages qui feraient réfléchir sur le bon moteur d’un tourisme véritablement de qualité après des années de saisons faites entre Covid et les habituels problèmes chroniques non résolus de la marina. Cependant, au fil des années et des saisons politiques, rien ne prouve que l’approche de la côte latino change également, ce qui s’exprime toujours en un mot : improvisation. Et le fait que ces derniers jours ce soient surtout des représentants proches du centre-droit comme Salvatore De Monaco et d’autres qui photographient les aperçus de dégradation (certains montrés sur les photos de ces pages) en dit long sur la façon dont se propage un certain mécontentement. même dans les milieux politiques qui devraient être proches de l’administration.

Les problèmes sont toujours les mêmes : trottoirs déconnectés, poubelles sales, rues envahies par le sable, trottoirs sans entretien qui devraient être remplacés, meubles rouillés, ruban rouge de chantier à certains endroits entre une dune et une autre. L’entrée de la marina Latina depuis Casilina reste insuffisante pour une capitale et une ville balnéaire : un pont rouillé se détache. En continuant et en entrant par ce côté de la plage, nous trouvons des trottoirs cassés, des systèmes d’irrigation détruits et jetés dans des parterres de fleurs, des parterres de fleurs secs et sans fioritures, et de nombreux ouvrages à sécuriser avec des barrières (trous, quelques planches de bois des abris de passerelle arrachées), sans vouloir considérer les problèmes désormais chroniques de la Piazzale dei Navigatori avec la fontaine souvent vandalisée.

Au conseil municipal de mercredi, on a parlé de désaisonnalisation des structures aussi bien dans la section A que dans la section B, mais il semble paradoxal qu’on pense à maintenir les structures ouvertes même en hiver dans ce cadre qui n’attire certainement pas les touristes : le Le front de mer de Latina présente depuis quelque temps une situation de dégradation généralisée, démontrant un grave manque de bienséance et d’entretien ordinaire et extraordinaire et pénalisant sévèrement ce qui devrait être sa vocation touristique.

Et cette année, l’état des infrastructures est invariablement resté le même avec l’interdiction du pont Mascarello et le port de Rio Martino aux prises avec des fonds marins envasés tout au long de l’année. Un état général qui ne stimule pas l’économie et n’aide pas les exploitants de plages, d’hôtels et les citoyens qui louent des maisons pendant l’été : avec un littoral mal entretenu, presque abandonné, face à des prix et des loyers aussi élevés que dans d’autres villes balnéaires, le citoyen se retire, préférant d’autres destinations.

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