FDI L’AQUILA: SERVICES PUBLICS ET LOYERS NON PAYÉS, AVIS D’EXPULSION ARRIVE AUSSI | Actualités actuelles

FDI L’AQUILA: SERVICES PUBLICS ET LOYERS NON PAYÉS, AVIS D’EXPULSION ARRIVE AUSSI | Actualités actuelles
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L’AQUILA – Pas seulement les services publics, désormais aussi les loyers impayés : pour Fratelli d’Italia, l’avis d’expulsion arrive du siège social de via Pizzo D’Oca à L’Aquila.

Alors qu’à Pescara se déroule la conférence programmatique du parti “L’Italie change l’Europe” – à laquelle participent tous les dirigeants du centre-droit et toute l’équipe des ministres et des parlementaires – on tente dans la capitale d’apaiser davantage de mécontentement et non pas pour mettre à mal les équilibres et les relations récemment mis à rude épreuve après le résultat des élections régionales, mais en plus de l’embarras de la séparation du courant pour cause d’arriérés, de nouvelles indiscrétions sensationnelles émergent dans le parti dirigé par le premier ministre Giorgia Meloni, élu précisément dans la circonscription de L’Aquila-Teramo.

Bref, un grave contretemps qui risque de laisser FdI sans siège dans ce qui est considéré comme la forteresse des Frères d’Italie, qui ont élu le premier ministre pour couronner une ascension amorcée en 2017 avec l’élection de Pierluigi Biondi, premier maire melonien d’une capitale régionale, reconfirmé en 2022.

Personne n’exagère, au sein de FdI on assiste à un changement de responsabilité, et outre le loyer, qui n’aurait pas été payé depuis des mois, pèse lourd “l’oubli” de ne pas avoir payé les dernières factures, une circonstance qui a déjà a forcé les Meloniens à déplacer, ces dernières semaines, la première réunion de la nouvelle coordination provinciale au bar Nero Caffè, en plein centre ville.

C’est pourquoi des sources internes se limitent à signaler que ces dernières années, il n’y a jamais eu de problèmes dans la gestion du siège, qui est toujours resté ouvert, et que les problèmes sont survenus lors de la passation de pouvoir, après la phase du congrès et le règlement du nouveau coordination.

Mais les difficultés du parti leader dans les Abruzzes, avec 24,10%, dans la région de L’Aquila avec 26%, ne se limitent pas seulement à la gestion du siège de la capitale régionale et aux tensions apparues avec encore plus de force ces dernières années. Les semaines ont freiné l’engouement pour le deuxième mandat historique du président de Région Marcus Marsileégalement issu des FdI, a reconfirmé le 10 mars avec environ sept points d’avance sur le candidat de centre-gauche, Luciano D’Amico.

Et c’est précisément à L’Aquila, où le deuxième parti après le Parti démocrate va étonnamment à contre-courant, que se concentre le mécontentement face à l’échec de l’élection d’un candidat, avec Alessandro Piccinini Et Tiziana Del Beato 5 443 et 5 043 voix respectivement, aux quatrième et cinquième places. Devant eux se trouvent les détenteurs du record de préférence Mario Quaglieri, avec 11 748 voix, et Massimo Verrecchia, 7 758, tous deux Marsicans, et Anna Maria Rossi, de Sulmona, avec 5 491 voix.

D’où les allusions, relayées de toutes parts, souvent confiées aux réseaux sociaux : « Il y a une éthique dans tout ce qui se fait et celui qui piétine tout et tout le monde pour arriver à ses fins ne gagne pas », lit-on entre les lignes d’un de ceux discutés post de Piccinini, ancien conseiller municipal de L’Aquila et ancien président du Gran Sasso Acqua, qui a également demandé un recomptage des bulletins de vote en raison de prétendues erreurs dans les procès-verbaux.

Et les assurances reçues du coordinateur provincial ne suffisent pas Claudio Gregorimaire de Barete – « Nous sommes une équipe forte et unie, et ensemble nous avons montré que nous pouvons atteindre de grands objectifs » – pour effacer des semaines de frictions et de « déplacements » qui auraient pénalisé les candidats de L’Aquila.

Pour jeter de l’huile sur le feu, ces derniers jours, Giorgio De Matteis, Le vice-secrétaire provincial de FI, qui, après de vifs échanges sur la question du stationnement dans le centre de L’Aquila, a défini Gregori lui-même comme “confus et distrait”, soulignant: “il vaudrait mieux qu’il s’occupe de Barete et paie les factures”. Avec Gregori lui-même qui a alors menacé de poursuites.

Juste le énième épisode du conflit en cours au centre-droit de L’Aquila après la bataille compliquée les uns contre les autres pour la formation du nouveau conseil régional.

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