mais Fdi reste ferme sur Iandoli

Ce sont des heures de grande frénésie pour le centre droit d’Avellino. Aujourd’hui, les discussions reprennent officiellement pour parvenir à l’indication d’un candidat à la mairie, mais même ces derniers jours, les lignes téléphoniques des protagonistes de l’affaire sont devenues considérablement surchauffées. Un trafic particulier a été enregistré le long de l’axe Avellino – Pescara, cette dernière ville qui a accueilli la conférence programmatique Fratelli d’Italia.

Il y a tellement d’inconnues et ce n’est pas un hasard si il n’a pas encore été possible d’établir ne serait-ce que la nature de la coalition. Si d’un côté, en effet, il y a ceux qui poussent à la construction d’un front civique, comme le conseiller régional des Modérés et Réformistes, Livio Petittoet le député démocrate-chrétien Gianfranco Rotondi, d’autre part il y a ceux qui, comme la présidente de Fratelli d’Italia, Ines Fruncillo, visent une course politique et identitaire, à tel point qu’ils ont déjà mis le nom de le leader provincial Modestino fait jouer Iandoli.

Ce dernier, interviewé par «Il Mattino», a confirmé sa candidature, espérant cependant que l’unité de la coalition soit réalisée. Le secrétaire municipal de la Ligue, Maria Elena Iaverone, est ouvert à la discussion, mais semble prudent. «Je prends note de la volonté d’Iandoli d’unifier le centre-droit – affirme-t-il -, mais la dernière fois que les partis se sont rencontrés, Fratelli d’Italia a annoncé qu’il se présenterait seul. Il y a un besoin urgent de discussion entre tous pour comprendre comment procéder si nous voulons vraiment trouver l’unité. »

Le secrétaire provincial de Forza Italia se dit cependant sceptique, Carmin De Angelisqui souligne : « Il faut certes rechercher l’unité, mais il faut identifier un nom synthétique. Rien contre Iandoli, mais la méthode utilisée ne peut être acceptée, surtout si l’on considère que le président de son parti sera sur le terrain pour les élections européennes pour lesquelles on dirait presque qu’ils veulent construire un tandem.”

Les représentants de la Centrale syndicale sont particulièrement actifs à ces heures-là et sont apparemment en train de définir les derniers détails de la liste à mettre en place. «L’UDC – déclare le coordinateur provincial Gennaro Romei – a toujours soutenu une voie qui regarde vers l’unité de la coalition, depuis les états généraux de Cassano Irpino l’année dernière. Mais ce qui nous importe, c’est de mettre en place une coalition faite de symboles car – explique-t-il – nous pensons qu’il est essentiel de redécouvrir la valeur des partis si l’on veut éviter l’indistinction ou la construction de listes dépendant de parrains individuels. “.

Pas de commentaire sur le nom d’Iandoli, mais un espoir: «Nous arrivons à la table avec une égale dignité, sachant que pour gagner, nous devrons nous concentrer sur un projet et non sur une équipe tant qu’elle existe». Bref, l’objectif principal reste de maintenir l’unité du front, en évitant des ruptures qui, à ce stade, seraient douloureuses et dangereuses, mais les négociations semblent encore longues pour y parvenir. Ces derniers jours, plusieurs tentatives de médiation ont été faites, essayant même d’impliquer des personnalités extérieures au monde politique, mais jusqu’à présent elles n’ont abouti qu’à une longue série de « non, merci ».

Hormis Iandoli, qui est et reste sur le terrain (actuellement uniquement en quota FDI), plusieurs noms sont sur la table. Tout d’abord celle de l’édile sortant Costantino Preziosi, référence historique du centre-droit et appréciée de tous côtés ici comme à Rome. Ensuite, le journaliste Rino Genovesefortement soutenu par le maire de Montefalcione, Angelo Antonio D’Agostino, et prêt à porter la veste de la pure civilité. Ainsi, le coordonnateur provincial de l’Union Centrale, Gennaro Romei. Autant de personnalités qui bénéficient d’une manière ou d’une autre du consensus, mais qui restent dans la balance en raison du manque de clarté sur le périmètre de l’équipe. On sait que diverses tentatives sont faites pour tenter d’impliquer des groupes civiques liés à l’ancien maire Gianluca Festa et sont restés orphelins du leadership, mais, au moins jusqu’à aujourd’hui, ces derniers sont restés fermes sur leurs positions, convaincus de la nécessité d’offrir à la ville une proposition en continuité avec l’expérience administrative qui vient d’être archivée.

Ceci, d’une part, pose des limites en termes d’élargissement de l’équipe et, d’autre part, met hors jeu les noms qui ont émergé jusqu’à présent, étant donné que depuis Génois à Précieux en passant par Romei Et Iandolice sont des chiffres absolument alternatifs à la dernière expérience gouvernementale.

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