Cette partie de la province de Salerne qui se réjouit… contre Salerne. Réflexion

Cette partie de la province de Salerne qui se réjouit… contre Salerne. Réflexion
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Les taquineries qui viennent de Naples ils font partie du jeu et ne nous surprennent pas. Par ailleurs, nous avons toujours souligné que, du côté italien, la rivalité avec Salernitana est profondément ressentie et que la seule façon de se réjouir après une année désastreuse est de s’accrocher aux défaites des autres.

Nous parlons des désormais anciens champions d’Italie, ceux qui ont été scandalisés par la célébration après le but de Dia et qui ont accumulé une série d’échecs sportifs sans précédent, dont un 0-4 à domicile en Coupe d’Italie contre Frosinone. Sans oublier les deux derbys remportés principalement grâce à des épisodes arbitraux favorables, comme le but du hors-jeu. à Arechi, le penalty accordé à Maradona et le score irrégulier 2-1 à la 96ème minute sont passés inaperçus uniquement en raison de l’ostracisme de la presse nationale.

Et il y a aussi le fait qu’à Castellammare et Cava, après des saisons anonymes entre Lega Pro et amateurs, les gens rêvent de venir jouer dans le prince des stades pour ressentir l’atmosphère du vrai football et admirer une base de supporters du plus haut niveau comme celle-là. de la Granate.

Cela fait cependant sourire que même une partie de la province de Salerne ironise sur la relégation de Salernitana. Quelle devrait être leur équipe préférée. Soyons clairs : la grande majorité de la province, notamment celle du sud, se soucie du sort de la Bersagliera et constitue un noyau dur essentiel et fondamental qui fait la différence en qualité et en quantité.

Ensuite, il y a ceux qui, sans sentiment d’appartenance, parviennent à se réjouir des défaites de l’hippocampe. On pense par exemple aux affiches funéraires de Battipaglia. Il y a un an, unfaible (qui regorge également de supporters de Salernitana), une grande fête a été organisée pour le championnat de Naples. Un événement plus unique que rare, bien sûr, mais qui nécessiterait également une série de réflexions de la part du club d’Iervolino, appelé à encourager les nouvelles générations à grandir amoureuses de la première réalité footballistique de la ville et non du gros ou présumés gros.

On le répète : ces choses-là font le piment du football, parfois elles font même sourire. Cependant, il est hilarant de penser que quelqu’un, dans la province de Salerne, chante contre Salerne et Salernitana. L’identité, cette inconnue de beaucoup…

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