des centaines d’employés supplémentaires

des centaines d’employés supplémentaires
Descriptive text here

TREVISO – Une médaille à double face : d’une part la croissance substantielle de l’emploi surtout dans un secteur stratégique comme le tourisme, de l’autre la…

Déjà abonné ? Connectez-vous ici!

OFFRE SPÉCIALE

OFFRE SPÉCIALE

MENSUEL

4,99 €

1 € PAR MOIS
Pendant 3 mois

ACTIVER MAINTENANT

Alors seulement 49,99 € au lieu de 79,99€/an

Abonnez-vous avec Google

TREVISO – Une pièce à deux faces : d’une face la substantielle croissance de l’emploi surtout dans un secteur stratégique comme celui de tourismede l’autre le continuum déclin dans le secteur des services. 2023 nous renvoie un cadre de marché du travail à Trévise avec de multiples interprétations à partir de l’identité du travailleur moyen. Adriano Bordignon, président d’Ebicom, l’eAutorité bilatérale du tertiaire et du tourisme commence par la formation entre ceux qui recherchent un emploi pour la première fois et ceux qui sont arrivés en fin de parcours professionnel : « La formation pédagogique des personnes qui quittent le marché du travail est très différente de celle de ceux qui y entrent. – souligne-t-il Bordignon – aujourd’hui, en Vénétie, au moins un travailleur sur 3 (environ 35 %) a un baccalauréat ou diplôme d’études supérieuresalors que pour la génération des baby-boomers désormais sortante (60-64 ans), seulement 15 % environ en disposaient.

Les données

L’Observatoire de notre Organe Bilatéral nous rend, fin 2023, un croissance des emplois dans le tourismeou (+330), un contraction des services (-415) une stabilité substantielle des emplois dans le commerce (+45). Parmi les formes contractuelles l’indéterminé grandit (+710), le travail déterminé (+405) et l’apprentissage (+95), tandis que le travail intermittent (+255) et le travail parasubordonné (+1615) affichent de bons résultats. En résumé, le secteur tertiaire confirme son rôle de premier plan dans un contexte où environ 6 salaires sur 10 proviennent d’entreprises commerciales, tourisme et services. Des secteurs qui nécessitent un personnel de plus en plus qualifié, même pour ces tâches autrefois considérées comme basiques et à faible impact. Et Bordignon souligne la nécessité d’en avoir un une formation de plus en plus précise et intensive. Ce qui ne se voit pas toujours : « Le résultat est un un monde à deux vitessesou plutôt trois. Le premier est celui du secteur de la formation, qui ne s’adapte pas assez rapidement aux changements économiques et à la formation de nouvelles figures professionnelles ; la seconde est celle des entreprises, de plus en plus seniors en termes d’entrepreneurs et de salariés et pas toujours capables de s’intégrer, avec la bonne approche, aux changements imposés par la transition numérique, écologique et sociale ; la troisième est celle des jeunes qui, contrairement à leurs parents ou grands-parents, se retrouvent bien souvent à choisir leur propre entreprise et ne sont plus simplement choisis. Ils sont plus diplômés, ont accumulé plus d’expériences, ont voyagé, fait des échanges, des Erasmus, des stages. Ils ont la possibilité de s’épanouir en un clic, de se faire connaître, ils ont la légitime envie de ne pas se contenter de « n’importe quel métier » et encore moins d’un environnement toxique ou stressant. Ils disposent d’une quantité d’offres d’emploi nettement supérieure au nombre de personnes employables. »

Le tournant

Pour le président d’Ebicom, le nouveau défi est de rendre les emplois et les entreprises toujours plus attractifs, en les modelant sur les besoins des jeunes entrants. Il y a quelques jours, l’économiste Alessandro Minello a invité même les petites et moyennes entreprises à ne pas se laisser distancer dans la course à l’utilisation de l’intelligence artificielle dans les cycles de production. L’une des conséquences de l’accumulation de retards alors difficiles à combler est non seulement la difficulté de se maintenir sur le marché, mais aussi la perte de jeunes plus intéressés à s’orienter vers des territoires et des entreprises plus modernes et plus stimulantes. Bordignon semble presque lui emboîter le pas : « C’est pour ça qu’il faut clôturons le récit désormais obsolète du « ouais, à mon époque » ou du « oui, on a fait notre apprentissage » qui ressemble à celui de ceux qui conduisent en ne regardant que le rétroviseur. Il est temps de jeter les bases d’une culture de travail véritablement innovante qui place au centre une relation positive entre le travailleur et l’entreprise. Un écosystème capable de produire des outils et des systèmes innovants qui intègrent la conciliation des temps de travail et de vie, augmentent l’efficacité et la productivité et sont capables de surmonter le fossé générationnel et entre les sexes. Il est donc essentiel d’accorder « une attention croissante aux politiques actives innovantes, aux plans de protection sociale, aux contributions publiques et privées comme celles proposées par le bilatéralisme, visant à rendre les entreprises plus compétitives et les emplois (même saisonniers) plus attractifs, pour garantir que la profession soit une rencontre heureuse et non un « j’y réfléchirai » ou un « on vous tiendra au courant » superficiels.

© TOUS DROITS RÉSERVÉS

Lire l’article complet sur
Le Gazzettino

PREV c’est la première depuis 40 ans en Italie”
NEXT Cantù-Udine, billets en vente pour les abonnés à partir d’aujourd’hui