pourquoi la gauche a-t-elle peur de Vannacci ?

Saccomanno “En attendant, il convient de noter que des phrases ont été extrapolées à partir de ses interventions sans toutefois les insérer dans le contexte général du raisonnement dans le seul but de le dénigrer”

communiqué de presse

Depuis des jours, Vannacci est sur toutes les lèvres, notamment à gauche qui conteste sa candidature pour des raisons vraiment incompréhensibles !

Entre-temps, il convient de noter que des phrases ont été extrapolées à partir de ses interventions sans toutefois les insérer dans le contexte général du raisonnement dans le seul but de le dénigrer.

La méthode habituelle de la gauche pour ne rien clarifier et tenter de diminuer la valeur de l’adversaire. Une méthodologie aujourd’hui qui ne paie pourtant pas : la politique n’est pas un slogan, mais une discussion sereine, voire un débat houleux, une analyse minutieuse qui doit cependant conduire à la synthèse ultérieure. Rien de tout cela aujourd’hui !

Avec pour conséquence qu’il n’y a pas d’alternative à l’action, même courageuse, du gouvernement et du centre-droit. Et pour revenir à Vannacci, une polémique totalement stérile et inutile apparaît tout à fait suggestive et favorable à la Ligue. On peut ou non être d’accord avec ses phrases, mais on ne peut certainement pas l’accuser d’ambiguïté.

Le général représentait l’État et, bien sûr, il se présente en qualité dans laquelle il a défendu, au risque de sa vie, l’Italie dans divers conflits, il a exprimé une idée de la solidité de la République, il a cru qu’il y avait un besoin de plus d’ordre et de sécurité. Un homme donc qui ne pliera jamais le dos et qui sera certainement une valeur ajoutée dans l’Europe d’un centre-gauche qui n’a pas de ligne cohérente en faveur de la croissance des Etats et des communautés. Une Europe frappée en plein cœur par les scandales, la corruption, les abus et qui n’a pas réussi à réaliser son rêve d’unité et de développement unitaire.

Une Europe qui a tenté de détruire l’économie italienne avec des interventions malveillantes dans l’immobilier, l’alimentation, la production alimentaire, les voitures électriques, etc.

Des interventions qui visent à détruire l’économie italienne pour la soumettre, comme ce fut le cas pour la Grèce. Il est donc nécessaire que des hommes et des femmes forts viennent en Europe avec des idées claires et précises sur ce qu’ils veulent faire. Vannacci n’est pas une personne en quête de compromis et, par conséquent, il est un véritable serviteur de l’État qui constituera une barrière solide et insurmontable pour la défense du Made in Italy et des intérêts de notre Nation.

C’est pourquoi la gauche a peur de Vannacci et tentera par tous les moyens de le dénigrer et de l’attaquer par tous les moyens afin de l’affaiblir.

Mais cela ne pourra jamais arriver car le général est sûr de ses faits et a affronté des batailles bien plus difficiles, restant toujours debout et victorieux.

Une valeur ajoutée donc pour l’Italie et pour la Ligue. Et la Calabre pourra valoriser la qualité du général.

NEXT Sassari, Avs et Futuro Comune : « Brisons le moule de la vieille politique »