“À la lumière de notre engagement en faveur de la protection et du développement du monde du travail et conformément à ce que notre force politique d’action demande au niveau national concernant l’introduction du salaire minimum, nous avons présenté une motion ayant pour objet “Protection du rémunération salaire minimum dans les marchés de travaux, de services et de fournitures et dans les concessions de la Région des Pouilles”, ont poursuivi les signataires.
“Il nous semble très important que cet objectif soit atteint afin de protéger les travailleurs non seulement du point de vue salarial. Parmi nos demandes, il semble nécessaire que “dans les concessions soit appliquée la convention collective la plus pertinente pour l’activité exercée, stipulée par les organisations patronales et syndicales comparativement plus représentatives, sans préjudice des traitements les plus favorables” et qu'”il est vérifié que les contrats indiqués dans les appels d’offres prévoient un salaire minimum obligatoire de 9 (neuf) euros de l’heure” et que « des réunions sont organisées avec les syndicats afin de vérifier comment atteindre l’objectif de l’Administration régionale que tous les contrats existants prévoient un salaire minimum obligatoire de 9 (neuf) euros de l’heure.
La conclusion du premier signataire de la motion Mennea, Amati et Clemente : « Nous croyons que notre motion que nous voulions présenter comme un « instrument concret » qui donne une valeur supplémentaire à la « Célébration du 1er Mai ». Nous espérons qu’il y aura un partage du mérite de notre motion, réitérant notre entière disponibilité à discuter avec tous afin d’améliorer la situation du marché du travail et par conséquent des travailleurs”.