Le succès du docufilm « La Zùite » écrit par Luciano Albore et Sabino Matera se confirme

Le succès du docufilm « La Zùite » écrit par Luciano Albore et Sabino Matera se confirme
Le succès du docufilm « La Zùite » écrit par Luciano Albore et Sabino Matera se confirme
Offrir aux nouvelles générations une représentation franche et vivante de la culture, de la religiosité et des traditions d’un passé qui ne peut rester un souvenir effacé, tel est le but du docufilm “La Zùite”, écrit par Luciano Albore et Sabino Matera. Après l’extraordinaire succès obtenu les années précédentes, tant dans les cinémas du Multiplex de Rome, à Andria, que dans la ville de Hoboken, dans le New Jersey, aux États-Unis, le film au goût entièrement andriaien, après des années, a continué pour assurer le succès habituel. Un tonnerre d’applaudissements a en effet résonné dans le 1er Vicolo Ruggero Bonghi, près de l’église de San Nicola, lieu historique où il a été projeté les 25, 26 et 28 avril, à Andria, dans le cadre de la 587ème manifestation culturelle de ” Le Foire d’Avril”, le long métrage en dialecte local réalisé par Umberto Sardella et avec la participation de Sabino Matera, Silvia Marmo, Francesco Turi, Umberto Sardella, Giustina Buonomo, Franco De Giglio, Antonello Ricci et Piero De Lucia.

Le projet, entièrement réalisé dans les Pouilles et issu d’une production indépendante “La Zùit”, raconte l’histoire d’un mariage d’autrefois, rendant hommage aux origines anciennes, entre les années 60 et le début des années 70. Traditions, cultures, artisanats de l’époque. , coutumes et traditions enfermées dans un contenant qui a amené les auteurs à écrire un scénario plein de valeurs. A Andria, c’est l’effervescence dans la rue : c’est le jour de la zùite (« de la mariée » ou le jour du mariage). Un mariage entre deux jeunes, Gina et Nicola, qui se déroule selon la plus authentique tradition populaire, dans une ville encore peuplée de personnages caractéristiques comme le laitier, le réaffûteur de couteaux, le cordonnier, le vendeur de lupin, le vendeur d’huile. Depuis que Nicola a envoyé “u mëzzèinë” pour demander la main de Gina, tout se déroule selon un rituel précis : la fiancée a reçu “u chëngirtë” (un ensemble de boucles d’oreilles, collier et bracelet) de sa belle-famille, elle a soigneusement lavé et repassé le kit pour l’exposer aux parents et aux voisins et est enfin prêt à sceller devant le Seigneur, dans la solennité du rite célébré à l’église, le pacte d’amour qui mènera à la naissance d’une nouvelle famille. Un récit qui est un document de ce que nous étions et qui, tel un précieux coffre au trésor, fait partie du plus grand héritage de nos traditions populaires, contribuant ainsi au développement d’un sentiment d’appartenance et à la définition de notre identité culturelle.

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