les adeptes de la secte ne paient pas les factures, une facture signée avec du sang au Préfet et Commissaire de Police

Ils rejettent toute autorité de l’État et se font des illusions en pensant qu’ils peuvent vivre sans devoirs.. C’est pourquoi les documents sont autoproduits (comme le pass universel) et pensent qu’ils n’ont pas à payer de taxe (certains d’entre eux affirment qu’ils n’ont pas payé le péage au péage Desenzano sur l’A4). Dans tout cela, comme on peut l’entendre lors de certaines rencontres sur leur chaîne YouTube, ils se viennent en aide lorsque policiers ou huissiers se présentent à leur domicile pour leur rappeler de respecter les lois.

Ce sont les membres de la secte “Noi è Io sono », émanation italienne du « One People » américain. Ils vivent dans une sorte de monde parallèle et, à l’ère des complots, ils s’appuient sur pratiquement tous : des vaccins aux théories politiques singulières en passant par la négation du changement climatique. Une branche petite mais significative d’adeptes se trouve dans la région de Brescia. Ils ont été mis sous les projecteurs des médias lorsqu’une femme a été interpellée ces derniers mois. Valsabbia avant et dansArrière-pays puis sans permis et avec un document signé avec du sang.

Il a été confirmé à Provaglio d’Iseo où deux partisans (accompagnés de témoins) ont déposé une plainte auprès de la station des carabiniers de Provaglio contre E.On Energia qui a coupé l’électricité en raison d’un prétendu non-paiement de factures. Des actions similaires se sont toutefois succédées au fil du temps et démontrent leur présence dans la province. Par exemple, deux d’entre eux, à Iseo, ont envoyé une « facture » simulant une signature avec du sang au préfet, au commissaire de police, au maire d’Iseo mais aussi à celui de Provaglio, aux carabiniers et à la société de gaz et d’électricité « pour avoir commis l’esclavage” contre “l’homme vivant et la femme vivante”c’est comme ça qu’ils s’appellent.

Au centre du litige, alors que leurs convictions les poussent à ne presque rien payer, se trouve l’envoi d’une facture de gaz qui n’a visiblement pas été payée. “Quiconque incite un homme vivant à s’identifier – c’est écrit sur la facture – dans les documents d’une société de droit privé saisie et saisie, commet un crime.” Dans ce genre de facture 4.0, les adeptes de « We is I am » demandent aux destinataires du document de payer en « once troy monnaie d’argent pur à 99,9 % » ou « énergie vitale »..

Il est clair que ce sont des documents sans valeur (tous signés avec du sang, tout comme le faux permis de conduire) et qu’au fur et à mesure que le temps passe et que les impayés sont appelés à augmenter, le risque est que ces personnes rencontrent de sérieux problèmes. Y compris les citoyens résidant à Iseo (bien qu’ils ne soient pas originaires du pays) qui ont envoyé la « facture » accompagnée d’un e-mail certifié dans lequel ils exigent le paiement de ce qu’ils qualifient d’« esclavage ».

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