voici les deux premiers avis d’appel d’offres

Comme annoncé ces derniers mois, la Région Lombardie a lancé un appel d’offres pour les trois premiers barrages destinés à la production d’énergie hydroélectrique pour trente ans. Il n’y a en réalité que deux lots, puisque le premier concerne les barrages combinés de Codera Ratti, dans la province de Sondrio, et de Dongo, dans la province de Côme. Le deuxième lot concerne cependant le barrage de Resio, dans la province de Brescia.

Les offres resteront ouvertes pendant six mois, jusqu’à fin octobre, tandis que la mission devra attendre fin 2025.

Une innovation qui ne satisfait que partiellement le grand Comité hydroélectrique dont Renato Cardettini de la Valteline est également porte-parole : « Les premiers appels d’offres sont bons mais il reste encore beaucoup à faire. Dans notre document programmatique, nous avons demandé un changement de paradigme basé sur la principes suivants : efficacité, sécurité des installations et de l’environnement, entretien du territoire, clauses de travail et sociales, redevances/compensations. Nous nous félicitons qu’après des décennies d’extensions la concession de 2 petites usines soit mise en appel d’offres. C’est un exemple d’école et c’est pourquoi nous soulignons ses limites et ses enjeux critiques. Derrière les appels d’offres, il y a beaucoup de travail de la part des structures régionales et ce test servira à calibrer le mécanisme et à l’améliorer – soulignent Cardettini et les autres membres du comité. -. l’entretien du territoire, la sécurité des installations et de l’environnement, les clauses sociales et la sécurité au travail, premières urgences sous-estimées, méritaient une plus grande récompense. Plus précisément dans les critères de sélection des offres : activités de gestion du réservoir valeur 5, structure organisationnelle technique valeur 10, efficacité de l’usine valeur 7, tandis que les compensations économiques valent le double”.

“Ceux qui participeront aux appels d’offres se concentreront sur la partie économique car elle est moins exigeante. La question de l’impact du travail est décevante, il y a le minimum requis par la loi et aucune forme de récompense innovante pour ceux qui s’engagent à ramener du vrai travail à les montagnes (on rappelle 700 emplois perdus en 30 ans dans la province) – conclut le discours – Même sur la formule on aurait préféré l’entreprise public-privé avec la participation des municipalités et des autorités locales, il est temps d’améliorer, nous ne pouvons pas brader la montagne et nos ressources naturelles”.

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