National Fiom-Cgil – Fiom Vérone

Dans le cadre de l’état d’agitation qui dure depuis maintenant un mois, ce matin 3 mai 2024, les travailleurs du Écartsociété en charge du contrat de logistique et de traitement des déchets au sein du complexe sidérurgique Aciérie de Vérone à Lungadige Galtarossa.

SALAIRE. « À l’exception des ajustements salariaux prévus par la négociation nationale – explique le secrétaire général de la Fiom Cgil de Vérone Martino Braccioforte – depuis 2017, année du début du contrat, ces travailleurs n’ont jamais vu un centime venir de l’entreprise de deuxième niveau. négociation, puisque l’entreprise refuse tout simplement de s’attaquer au problème, même si les revenus et les bénéfices montent en flèche. Nous pensons qu’après 7 ans le moment est venu d’accorder la juste reconnaissance économique à ces travailleurs, permettant de récupérer au moins partiellement le pouvoir d’achat érodé par l’inflation, et que le système de relations syndicales commence à marcher sur deux jambes : contrat national et intégratrice d’entreprise”.

SÉCURITÉ. L’attitude de fermeture de l’entreprise affecte également l’aspect de la formation visant à garantir la sécurité et la santé au travail. « Le sujet est traité comme une pratique bureaucratique – ajoute Braccioforte – allant jusqu’à prétendre remplir l’obligation de formation à travers une simple assemblée. Ceci n’est pas acceptable, surtout face aux tâches délicates qui obligent les travailleurs à manipuler des matériaux (bobines, fil machine) et des résidus de la transformation de l’acier”.

À ce sujet, le secrétaire de la Fiom trace une ligne de démarcation claire : « Nous avons invité les travailleurs à ne pas signer les formulaires de « formation et formation » qui sont proposés dans ces assemblées, jusqu’à ce qu’ils soient démontrés et partagés avec le Rls et les syndicats. Contenu. Par ailleurs, suite à des rapports pour lesquels nous n’avons pas reçu de réponse de la part de l’entreprise, nous avons été contraints de demander l’intervention de Spisal qui a procédé à une inspection en décembre et a adressé en janvier à l’entreprise une liste d’exigences en matière « d’information, de formation, de gestion des le réseau routier interne de l’usine et des équipements de levage».

« Le droit à un travail sûr et équitablement rémunéré est pour nous un principe indispensable. La mobilisation se poursuivra jusqu’à ce que nous ayons des réponses exhaustives de la part de l’entreprise”, conclut Braccioforte.

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