Monza a une tendance à s’inverser. Palladino : “Nous méritons plus de points”

Monza a une tendance à s’inverser. Palladino : “Nous méritons plus de points”
Monza a une tendance à s’inverser. Palladino : “Nous méritons plus de points”

Barcelone est l’une des destinations de football les plus romantiques d’Europe : Maurizio Sarri, par exemple, rêvait il y a quelques mois d’y jouer la Ligue des Champions avec son équipe de la Lazio. Pour Monza, cependant, c’est devenu le nouveau point de départ depuis le malheur qui a d’abord frappé Caprari, puis Izzo, jusqu’à Ciurria. Trois des éléments les plus importants du premier Monza de Palladino, qui, pour diverses raisons, a dû repartir de la clinique du professeur Ramon Cugat. Raffaele Palladino a commenté la nouvelle de “l’arthroscopie diagnostique du genou droit, avec preuve d’une déchirure du ménisque latéral et donc d’une suture méniscale” pour Ciurria : “le football serait plus beau s’il n’y avait pas de blessures, mais cela fait partie du sport et notre travail”, révélant son côté rêveur qui continue de l’enthousiasmer dans son aventure sur le banc.

En parlant de Maurizio Sarri, la Lazio de ce soir sera quelque chose de très différent. Sur le banc se trouve Tudor qui a redonné du moral à une équipe qui ne semblait plus motivée. De l’autre, il y a Pessina et ses coéquipiers qui n’ont cessé d’avoir cette motivation depuis le début de la saison malgré les difficultés. C’est pourquoi “ce que nous avons fait cette année est quelque chose d’extraordinaire”, dit l’entraîneur qui n’est pas étranger à ce type de mise en avant. Surtout maintenant que son équipe de Monza vient de remporter cinq matches sans victoire, la plus longue période de jeûne depuis qu’il est à la tête des grands : “Il nous a manqué des points lors de ces cinq matches, mais pour les performances que nous avons réalisées, nous “J’ai mérité plus – dit Palladino -. La croissance, la mentalité et la performance sont toujours les premières et l’équipe ne m’a jamais donné le sentiment d’avoir abandonné.” Se concentrer sur le présent, sans pointer les antennes vers l’avenir, également parce que l’étude des contre-attaques sera plus compliquée avec un entraîneur, Tudor, qui dirige depuis peu la nouvelle équipe. Mais le défi sur le banc est aussi un rappel d’un passé qui s’étend jusqu’à la Juventus de Marcello Lippi : à cette époque, Palladino était un garçon attaché aux adultes, aux premiers stades d’une carrière qui était parvenue jusqu’ici, tant sur et en dehors du terrain. Désormais, en tant que canon lâche du championnat, il vise à finir gros sans se fixer de limites. Avec en plus Dany Mota, de nouveau disponible suite à son problème à la cheville.

(4-2-3-1) : Di Gregorio ; Birindelli, Izzo, Pablo Marì, Kyriakopoulos ; Akpa Akpro, Bondo; Colpani, Pessina, Zerbin ; Djuric. LAZIO (3-4-2-1) : Mandas ; Patric, Romagnoli, Hysaj; Marusic, Guendouzi, Kamada, Zaccagni ; Felipe Anderson, Luis Alberto ; Immobile.

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