la Région des Pouilles décide d’intervenir

Concernant la présence massive de perroquets verts, perruches moines, dans la province de Bari, la réponse a été reçue de Donato Pentassuglia, Conseiller régional de l’Agriculture, de l’Industrie et des Ressources agroalimentaires, en réponse à la demande formulée le 17 avril dernier par Michel-Ange De PalmaConseiller Municipal pour l’Agriculture et la Floriculture, concernant les dommages causés par ces mêmes oiseaux à la production agricole, notamment aux arbres fruitiers et aux amandiers.

Dans la note régionale, il est noté que l’espèce exotique de perruche moine, originaire d’Amérique du Sud, s’est reproduite de manière permanente en Italie, à tel point qu’elle est caractère envahissant. En ce qui concerne les Pouilles, Terlizzi est l’un des territoires les plus colonisés par les perroquets avec Molfetta, Bari, Modugno, Bitritto, Bitetto, Torre a Mare, Triggiano, Mola di Bari, Rutigliano et Noicattaro ; pour le moment, il y en a donc une absence dans les autres provinces.

Il s’agit d’une “espèces non indigènes”, précisément parce qu’il s’installe sur un territoire différent de son aire de répartition historique, autosuffisant du point de vue de la reproduction dans le nouvel habitat et compromettant les écosystèmes d’origine. D’après le document du conseiller Pentassuglia, il ressort clairement que «Comme il s’agit d’une espèce exotique sur le territoire national, sa gestion vise à éradiquer ou en tout cas à contrôler les populations».

Il est donc nécessaire de procéder, dans un premier temps, à la mise en œuvre d’un plan de recensement visant à définir la cohérence numérique actuelle et les zones concernées par les perruches moines et, ultérieurement, d’une plan de confinement.

En particulier, le plan d’intervention directe sur la faune en question doit également prendre en compte de multiples facteurs méthodes d’intervention qui se combinent avec les caractéristiques du territoire à travers, par exemple, le dérangement des coqs, la capture d’adultes, le dérangement en phase de reproduction avec suppression des nids et tirs.

Enfin, le conseiller Pentassuglia demande instamment le début d’un campagne de communicationafin d’endiguer les éventuelles résistances des citoyens résidents quant aux mesures à prendre contre les perroquets eux-mêmes.

« L’espèce précitée est finalement considérée comme envahissante et non indigène. Par conséquent, si initialement l’ISPRA la considérait comme une faune sauvage et comme un objet de protection, il est aujourd’hui jugé approprié d’intervenir pour éradiquer ou au moins contrôler l’augmentation croissante de la population.commente-t-il satisfait Michele Volpéconseiller municipal de Città Civile, pour les retours obtenus au niveau régional. «La note régionale prend officiellement acte du véritable problème qui frappe nos campagnes et nous exhorte en même temps à intervenir rapidement».

Volpe lui-même a par le passé alarmé les institutions sur les énormes dégâts causés aux fruits pendants et en retard de maturation, mettant ainsi en danger les revenus des entreprises agricoles après un an de travail. «C’est pourquoi la Zone Territoriale de Chasse de Bari/Bat a été officiellement mandatée, en collaboration avec l’Observatoire Régional de la Faune, pour étudier et proposer un plan de confinement de l’espèce et ensuite demander l’approbation définitive de l’ISPRA».

PREV puis 8 jours de vraie course à pied – ilBustese.it
NEXT Maignan intransférable ? SKY révèle la position de Milan