10 militants de « Gramigna » condamnés

10 militants de « Gramigna » condamnés
10 militants de « Gramigna » condamnés

PADOUE – L’occupation de l’ancienne usine de torréfaction Vescovi, Via Vicenza, a provoqué la présence de dix militants…

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PADOUE – L’occupation deancienne usine de torréfaction Vescovi dans via Vicenza a abouti à la condamnation, devant le juge du juge unique, de dix militants du Cpo Gramigna obtenu par une peine de 10 mois chacun sans libération conditionnelle. Cependant, Davide Bortolato, 53 ans, et Andrea Scantamburlo, 59 ans, ont été acquittés pour ne pas avoir commis le crime : tous deux représentants padouans de ce qu’étaient les Nouvelles Brigades Rouges.

Les autres sont Sara Cavallo 31 ans de Carosino (Taranto), Alessandra Charalampidis, 29 ans de Padoue, Giacomo Comandini 31 ans d’Ancône, Tomas Fonseca Fernandez 29 ans de Padoue, Silvia Marin 35 ans de Padoue, Marcella Rasia 28 ans de Montecchio Maggiore (Vicence), Michele Totta 37 ans de Padoue, Marco Gargiulo 29 ans de Selvazzano Dentro, Beatrice Guglielmi 24 ans de Padoue et Lorenzo Mobilia 27 ans de Pérouse. Les douze, à la suite de l’enquête menée par Digos et coordonnée par la procureure Silvia Golin, ont été accusés à divers titres d’occupation illégale et de manifestation non autorisée.

L’ENQUÊTE
Le bâtiment, occupé le 7 septembre 2019, c’était effacé du police le 6 octobre, un mois plus tard, entraînant une saisie préventive du bâtiment. À l’intérieur de l’ancienne usine de torréfaction, comme le démontrent les vidéos enregistrées par les enquêteurs, les partisans du Centre Populaire occupé ont organisé des conférences politiques et des concerts. L’enquête du Parquet a commencé avec l’occupation en 2018 de l’immeuble de via Palestro appartenant auAter et remis à l’association pour gérer Vénétie sourde. Pour éviter une expulsion par les forces de police, les militants de Gramigna ont toujours mis en œuvre la même technique : dès qu’ils ont appris une expulsion, ils ont sorti leur téléphone portable et ont appelé des renforts.

QUI SUIS-JE
Charalampidis, après le raid de ce dimanche matin d’octobre, a écrit sur son profil Facebook : « Pour chaque coucher de soleil, il y aura une nouvelle aube… Le Cpo Gramigna n’abandonne pas ! La mauvaise herbe ne meurt jamais. Un autre expert des métiers illégaux est Marcella Rasiaqui déjà au lycée, lorsqu’il était à Vicence, avait organisé en décembre 2012 avec le collectif étudiant la “reprise” de l’institut Boscardin de via Baden Powell.
Le centre populaire occupé Gramigna, ces dernières années, a également rassemblé de nouvelles recrues. Comme Sara Cavallo et Silvia Marin. Les hommes de Digos ont également filmé l’intérieur du bâtiment de la Via Vicenza. Les policiers de l’ancienne usine de torréfaction Vescovi ont saisi une chaîne stéréo, une kitchenette, des tables, des chaises et des matelas.

© TOUS DROITS RÉSERVÉS

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Le Gazzettino

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