« Cent mille », deux soirées animées par Amadeus aux Arènes de Vérone : « Ensemble pour les femmes »

C’est la logeuse Fiorella Mannoia qui résume l’esprit du double événement «Un aucun cent mille» aux Arènes de Vérone : « C’est un appel aux arts“, Il dit. Et c’est toujours elle qui lance la musique, vêtue de blanc, en chantant sa chanson manifeste de Sanremo « Mariposa ».

Beaucoup ont répondu à son appel : plus de 20 noms du divertissement se relayer sur scène, donnant vie à de nouveaux duos, et un amphithéâtre complet les deux joursavec 20 850 spectateurs au total, tous unis par la volonté de dire non aux violences de genre.

Aux commandes de l’émission diffusée mercredi 8 mai en prime time sur Rai1, l’animateur démissionnaire Amédée, lors de son dernier grand rendez-vous sur Rai avant de déménager à Nove. «Un merci infini lui va pour ce voyage extraordinaire, le fait que nous soyons là le prouve à quel point la relation est paisible et fond paisiblement. Nous espérons évidemment qu’un jour il pourra également revenir”, déclare le directeur du divertissement Rai prime time Marcello Ciannamea.

Mais ce n’est pas le moment de penser à des questions personnelles, c’est une soirée collective et il y a une plus grande cause à soutenir. Ainsi, tandis qu’Amadeus répète numéro 45580avec laquelle vous pouvez apporter votre propre contribution jusqu’au 11 mai, Mannoia explique les origines de la fondation « Una niente centomila », dont elle est présidente d’honneur : « Avec le concert à Campovolo en 2022, nous avons soulevé 2 millions d’euros pour les centres anti-violence et nous avons décidé que cela ne pouvait pas s’arrêter là.”

Sa voix est rejointe par celles des autres chanteurs qui arrivent sur scène presque tous en noir, très élégants : Élodie et Tananaï enchanter avec le « Tango » chanté en se regardant dans les yeux, Giuliano Sangiorgi chante « Meraviglioso » depuis la loge royale, puis rejoint Mannoia ed Ermal Méta pour «l’été» et avec Noémi et BigMama passez à «Je n’aime que toi» de Sergio Endrigo. Annalisa, Alessandra Amoroso et Emma sont très applaudis par leurs fan clubs respectifs sous la scène, Paola Turci, Francesca Michielin et Noémi ils respirent la complicité dans « Faites-vous belle ».

Aux côtés de mes collègues, les hommes partent sur le terrain, entre Achille Lauro, Fabrizio Moro, Niccolò Fabi, Samuele Bersani et Brunori Sas, qui ont été rejoints, dans la deuxième soirée, par Mahmood et Piero Pelù. Le final choral est réservé à «Personne ne peut me juger», « hymne à la liberté et à l’égalité », présenté par Catherine Caselli en personne, avec un couplet actualisé au présent: entre lui et toi «Je M’ai choisi», chantent-ils, car «les temps changent et les chansons aussi», dit Mannoia.

De la musique, mais aussi des appels à ne pas se taire : les mots les plus forts ce sont eux qui sont récités par Anna Foglietta et Massimiliano Caiazzodans le rôle d’un couple qui s’enfonce dans un tourbillon de possession : «Nous avons appelé la police postale et lu les vrais chats, ce que nous représentions était trop sucré» dit alors Foglietta devant une standing ovation.

Les billets pour les deux soirées à l’Arena ont déjà été achetés 600 mille euros récoltésdestiné à de nombreuses entités répertoriées par le président Giulia Minoli. «Il y a beaucoup à faire, mais voir tout ce qui a déjà été accompli me fait comprendre à quel point c’est important. important de s’unir pour un but comme celui-ci. L’engagement de nous, les hommes, est également fondamental”, commente-t-il. Amédée après la soirée.

Et c’est Mannoia qui insiste encore : « Ce sont avant tout les hommes qui font ils devraient se sentir offensés être considérés comme des primates qui ne peuvent pas s’arrêter face à un non. Mais le travail de la Fondation ne fait que commencer, assure-t-il : la musique ne s’arrête pas là.

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