Ce que nous a dit Vérone-Fiorentina

Notes après la victoire avec Viola

Tout d’abord, la soif de résultats a une nouvelle fois vaincu les plus forts. Cette faim s’est traduite chez les garçons par Marco Baronide plus en plus le principal promoteur d’une course extraordinaire au salut. Il traverse le désert avec un verre d’eau. Enlevez-lui tout, vendez-lui tout, laissez les chevaux s’enfuir et il transformera même les honnêtes mules en guerriers féroces. Quelle réponse !

LAZO ET LA VIEILLE GARDE. Darko, presque le dernier des vétérans de la « pétillante Vérone qu’était » (et avec lui Magnani, une autre colonne de Baroni), le sérieux Serbe aux yeux glacés est une fois de plus le protagoniste de la grande course finale. L’année dernière, à un moment donné, il a pris l’équipe par la main et une grande partie de cet incroyable salut est passé par lui. Cette année, cela se répète, avec classe et charisme. Déjà en 2022, face au début de la démolition de la « pétillante Vérone qui était », il avait tenté de repartir mais avait été arrêté dans l’avion prêt pour Marseille. Il en prit note et fit peu à peu de sa déception sa force. Un vrai capitaine.

NOSLIN. Dans la forêt d’enfants volontaires arrivés en janvier, il se démarque de tous d’une manière incontestée et écrasante. Il a du talent, de la générosité et le sens du but. 4 objectifs très importants. On n’écrit rien d’autre car on le voit déjà au départ, destination de la plus-value.

SCARAMANCIE. Cela ne doit jamais manquer dans ces cas-là et rien ne doit être dit. Mais une chose peut être dite : désormais, pour nous sauver, il faut que des miracles soient accomplis par d’autres.

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6 mai 2024 (modifié le 6 mai 2024 | 19h50)

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