la philosophie du jiu-jitsu avec le KoiFit Bitonto – BitontoLive.it

Le Jiu-jitsu, un art martial né du judo dans le but de favoriser le développement du physique et du caractère, grâce à ses enseignements permet à ceux qui sont plus petits et plus faibles de se défendre avec succès contre un attaquant plus grand et plus fort, les conduisant au sol. et en utilisant des starters, des serrures et des clés communes. Nous accompagnant dans la découverte de cette discipline sont les ceintures noires de l’académie KoiFit Bitonto.

«Pour nous, c’est devenu une philosophie de vie – Il commence Robe Mimmo – quand on est sur le tatami, la façon dont on voit les choses change. C’est un sport très technique qui se pratique principalement au sol, devenu célèbre dans le monde entier car fondamental pour le MMA, arts martiaux mixtes. Le Jiu-jitsu vous donne une leçon : lorsque vous vous battez, surtout dans des positions très inconfortables, vous comprenez qu’il y a toujours un moyen de sortir de chaque position, il ne faut jamais abandonner. Et on apprend à se battre sous le stress, si on aime ça on vit du jiu-jitsu. Ici, le respect de son adversaire est très important, on ne sait jamais à qui on fait face et, contrairement à d’autres sports, si on est meilleur que son adversaire on essaie toujours de lui apprendre quelque chose.”.

Ce qui est surprenant, c’est l’absence totale de plans. « Être un sport – continue la robe – le règlement interdit les tirs. Or, combattre sur le terrain, en plus de rendre les déplacements difficiles, est tellement efficace qu’il n’est pas nécessaire. Je pratique la discipline depuis 2009, quinze années intenses avec des entraînements quotidiens, des séminaires et des voyages à l’étranger au cours desquels j’ai été confronté à d’autres façons de penser. Sur les tatamis j’ai toujours trouvé beaucoup de respect et de martialité, et j’ai toujours rencontré des adversaires qui m’ont poussé à m’améliorer”.

Notre aventure continue avec le témoignage de Giancarlo Lavenire: «Je pratique le jiu-jitsu depuis dix ans. J’ai commencé à trente-huit ans, mais la beauté de ce sport est précisément celle-ci : ce sport donne à ceux qui veulent concourir en compétition la possibilité de continuer, à tout âge. Et c’est complet grâce aux mouvements qui activent tout le corps. Le chemin est très long et complexe, mais voici le secret de son efficacité : pour retourner une personne, il y a plusieurs détails. Dans la discipline on retrouve les valeurs martiales classiques, comme le respect du maître et de la hiérarchie des ceintures que l’on essaie de ne pas trop faire peser, l’autorisation est demandée pour monter et descendre du tatami, vous fixez votre kimono avec votre dos tourné vers Ne le montrez pas aux autres. Il existe ce type d’éducation et j’ai vu beaucoup d’enfants s’améliorer et grandir : ici, il n’y a pas de tyrans, il n’y a aucune possibilité d’en être un. Tu le sens. Le Jiu-jitsu a aussi un côté zen : sur le tatami on se concentre uniquement sur le combat, ignorant les problèmes.”

«La cohérence en jiu-jitsu est fondamentale – fait remarquer Nicolas Lomangino – en témoigne la hiérarchie des ceintures, qui nécessite au moins deux ans pour passer d’une ceinture blanche à une ceinture bleue. Je recommande l’art martial à tout le monde, hommes et femmes de tous âges, notamment aux enfants. Il vous éduque, vous apprend à vous défendre et vous permet de devenir quelqu’un dans un sport. C’est bon pour la tête, c’est très claustrophobe, cela vous met en contact avec des angoisses et des peurs. Tout le monde devrait voir grand : j’ai obtenu mes podiums et je vais essayer d’en faire plus, arriver à la première place est un sentiment formidable et quand on prend de la hauteur dans les courses importantes, on se sent au sommet, c’est magnifique. Nous avons tous commencé tard, moi après trente heures. Vous pensez avoir fini mais le jiu-jitsu vous prouve le contraire. Si vous faites attention, vous comprendrez. Mais il est important de respecter les règles. »

jeudi 9 mai 2024

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