règles strictes sur les lieux d’atterrissage, le TAR rejette le recours des compagnies

Le Tribunal administratif régional de Salerne considère que les critères de sécurité des personnes et des véhicules en mer sont prédominants et rejette les demandes conservatoires des compagnies maritimes qui avaient…

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Le Goudron de Salerne considère que les critères de sécurité des personnes et des navires en mer sont prédominants et rejette les demandes de précaution des compagnies maritimes qui avaient fait appel à la justice administrative contre la nouvelle réglementation lancée par le Autorité portuaire de Salerne. Le scénario lié au transport maritime dans le golfe de Salerne et notamment dans les ports du Côte amalfitaine qui font office de soupape de décharge sur la route nationale 163. Oui, car les nouvelles dispositions contestées devant le TAR par le les compagnies maritimes Alicost et Travelmar, représenté et défendu par les avocats Lorenzo Lentini, Ugo Santucci et Giovanni Torre, ils risquent d’avoir des répercussions sur certaines routes et sur les usagers des routes maritimes. Notamment les riverains et les travailleurs qui pourraient voir les réductions sur le prix des billets révoquées, comme l’ont menacé en marge de la réunion à la Préfecture la semaine dernière. «Nous le ferons à partir du 1er juin, à la lumière de l’ordonnance TAR – annonce-t-il Andrea Gambardella, PDG de Travelmar – Maintenant nous nous opposerons au Conseil d’État et nous communiquerons au préfet que si les conditions restent celles prévues par le règlement accosti, la seule façon de réduire les flux sera de supprimer toute forme d’allègement pour les résidents et les navetteurs et de doubler l’ordinaire tarifs pratiqués depuis le 1° juin ».

LES EFFETS

C’est une décision qui, si elle est confirmée, aura des effets dévastateurs sur la mobilité et aura un impact important sur les usagers. Et c’est précisément ce que nous entendons éviter. Aujourd’hui, après l’échec de la semaine dernière à parvenir à un accord, une nouvelle phase de médiation devrait être rouverte pour éviter que les conséquences ne pèsent sur les usagers des routes maritimes. L’hypothèse, déjà redoutée le 2 mai dernier, a été gelée dans l’attente de la décision du TAR. En effet, tant le préfet que le président de la conférence des maires, qui ont travaillé dur ces dernières semaines pour tracer une ligne médiane utile et adaptée aux besoins de chacun, ont demandé aux armateurs de faire du surplace. Désormais, la seule possibilité d’éviter le pire sera de trouver un accord. Mais le problème de sécurité, comme l’a également souligné le président de la commission régionale des transports, Luca Cascone, concerne également les zones portuaires, car si beaucoup de personnes se rassemblent, se posera le problème de savoir comment les éliminer. En tout état de cause, les armateurs avaient contesté le dispositif devant le TAR en référence aux dimensions imposées pour l’accostage en ports de Cetara et Maiorifixés respectivement à 27 et 23 mètres. Un détail qui inquiète grandement les institutions locales intéressées par le renforcement des routes maritimes. Oui, car l’utilisation de bateaux plus petits, avec une capacité de passagers moindre, peut en effet conduire à une réduction inévitable du service. Surtout sur la ligne intercôtière en raison des limitations imposées dans le port de Maiori.

LES ÉVALUATIONS

Pour l’instant, la ligne de la capitainerie prévaut puisqu’elle a établi les juges de la première section (président Salvatore Mezzacapo, arbitre Fabio Di Lorenzo et Raffaele Esposito arbitre et rédacteur) réunis mercredi dans la salle du conseil (pendant 5 minutes, la discussion portera plutôt sur le fond) et qui, par leur décision, ont donné la priorité à la sécurité dans ports du Divin. « Considérant que la demande conservatoire proposée et soumise à l’examen de la commission n’apparaît pas susceptible d’une appréciation favorable puisque dans la mise en balance des intérêts opposés, la sécurité des personnes et des véhicules lors de la navigation et des manœuvres à l’intérieur des zones portuaires prime absolument », lit-on dans l’appareil publié hier.

«La disposition en question – poursuivent les juges du TAR – ne semble pas illogique ou déraisonnable mais vise plutôt à réglementer prudemment les activités exercées dans les ports en question, en n’affectant qu’indirectement sur les mesures d’autorisation dont le requérant est le bénéficiaire , qui ont également été adoptés par d’autres autorités.

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