Une affaire sur laquelle, nette des activités d’investigation des enquêteurs, la coalition de centre-droit demande des comptes au maire sur la protection de l’image de la Ville et de la société provinciale de transport dont Trani, avec la ville métropolitaine de Bari , est actionnaire majoritaire.
Ci-dessous la note signée par les dirigeants des groupes FDI, FI, Lega et LPS sur l’affaire STP :
“Étant donné que l’implication du STP dans les affaires juridiques actuellement sous l’attention des bureaux judiciaires de Bari fait l’objet d’hypothèses dans de nombreux milieux ;
– que diverses sources journalistiques ont évoqué la question, quoique dans des termes très vagues ;
– que, parmi ceux-ci, la diffusion particulière et l’inquiétude sociale qui en a résulté ont suscité le reportage diffusé le 18 avril par 7, lors de l’émission d’investigation “Piazza Pulita” ;
– que l’article publié le 24 avril par le journal “La Verità” a également suscité des inquiétudes particulières, étant donné qu'”à Trani”, selon la source journalistique susmentionnée, il y aurait eu des cas de soutien électoral, favorisés par la promesse de positions de travail;
– que les deux hypothèses, toutes encore à vérifier, ont été formulées dans un même contexte temporel, à tel point qu’elles suggèrent aussi un possible lien entre elles ;
– en tenant compte du fait que les parts sociales de STP sont détenues en grande partie par l’Amet et la Commune de Trani ;
– bien que nous espérons que ce qui est rapporté par les sources d’information susmentionnées n’est pas vrai, nous demandons au maire et au conseiller municipal la légalité et la transparence et pour cette raison nous leur posons une question formelle pour savoir si des initiatives visant à soutenir le Ville et les sociétés qu’elle détient.