La Municipalité arrête le concours pour le velox

Velox Rodigini, appel d’offres annulé. Il n’est actuellement pas possible de trouver sur le marché des systèmes électroniques de détection de vitesse homologués. C’est pourquoi, la procédure d’appel d’offres lancée par la municipalité pour confier le service de location, d’installation et d’entretien de six vélox dans les gares déjà présentes dans la zone de Rovigo, a débuté à plus de 600 mille euros pour une durée de 5 ans et demi, a été annulé, “en guise de protection”, comme c’est la pratique d’un point de vue technique. Une procédure qui, entre autres, a fait beaucoup de bruit puisque le service est actuellement géré par As2, l’entreprise publique de services technologiques appartenant à 49 municipalités ainsi qu’à d’autres organismes publics comme l’Iras et Ecoambiente.

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Bref, la course n’aura pas lieu et non pas tant parce que la question de la fourniture interne a été clarifiée entre-temps, le régime dans lequel As2 fonctionne sur la base duquel elle obtient la mission de services de ses membres, mais plutôt parce que il n’y a pas de clarté sur les dispositifs utilisés pour détecter automatiquement les infractions aux limites de vitesse maximales approuvées dont les communes, et donc aussi Rovigo, doivent se doter.

Sur la question de l’intérieur, entre autres, un sommet s’est tenu ces derniers jours en préfecture en présence du préfet Clemente Di Nuzzo à laquelle ont participé les syndicats, signataires de la demande de convocation de la table préfectorale, et les dirigeants de l’As2 elle-même, en premier lieu la présidente du conseil d’administration Caterina Furfari.

En ce qui concerne le régime interne, le préfet a précisé que la voie à suivre, pour dissiper tout doute sur le régime interne, est de convoquer le comité de contrôle similaire de l’entreprise pour mettre en œuvre la réglementation pertinente. La réunion est déjà prévue pour le 14 mai, dans l’après-midi. En tout état de cause, la révocation de l’appel d’offres n’est pas liée à des questions locales qui se jouent en marge du droit administratif. La question est en effet liée au code de la route et, notamment, à une ordonnance de la Cour de cassation publiée le 18 avril dernier qui s’est avérée en désaccord avec une précédente circulaire de la direction générale de la sécurité routière du ministère des Infrastructures. et Transport, datant de 2020, visait à apporter des précisions sur les homologations des appareils. Et le cahier des charges préparé par Palazzo Nodari avait été rédigé conformément aux dispositions ministérielles.

L’annulation n’a cependant causé aucun inconvénient à la Commune depuis la fin de l’appel d’offres.dont les documents avaient été publiés dans le système électronique le 17 avril, soit la veille de l’arrêt de la Cour suprême, était prévu pour le 20 mai et aucun participant n’avait entre-temps été identifié.

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