Un Tunisien battu à mort via Lanzi par un groupe de compatriotes

TERNI – Battus à mort au cœur de la vie nocturne. Les assaillants lui ont, à tour de rôle, écrasé la tête sur l’asphalte et l’ont massacré à coups de pied et de poing. …

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TERNI – Battu à mort au cœur de la vie nocturne. Avec les attaquants qui se relaient contre lui ils se cassent la tête sur l’asphalte et le massacre à coups de pied et de poing.

Aux violences qui ont eu lieu samedi peu après minuit entre via Lanzi et le lycée classique de nombreux garçons et filles ainsi que les gérants des locaux y assistent. Tout le monde supplie le grand groupe de citoyens non-européens de le laisser tranquille, car s’ils continuent ils risquent de le tuer.

Lui, 31 ans, a fêté une heure avant l’attaque, Un Tunisien récemment arrivé dans la ville, il est aidé par l’ambulance 118 qui l’emmène à l’hôpital avec d’importantes blessures à la tête et un visage défiguré.

Toutes les forces de police étaient sur place pour effectuer des contrôles afin d’assurer la sécurité de la vie nocturne, mais une fois de plus à leur arrivée, les assaillants ont disparu dans les airs.

Il est certain que la violence éclate apparemment pour des raisons insignifiantes. L’homme de 31 ans se situe entre Léonard de Vinci et le lycée classique lorsqu’il est agressé avec une brutalité classique qui rappelle le sang versé par David Raggi dans Vico dell’Olmo il y a neuf ans.

“Que voulez-vous de moi?” » dit le joueur de 31 ans à un compatriote qui s’approchait dangereusement de lui avec une expression menaçante.

Cela suffit à déclencher la violence. Une gifle commence, puis il est entouré d’un grand groupe de citoyens non européens surgissant de nulle part qui le jettent au sol, lui enfoncent la tête dans l’asphalte, le frappent. à plusieurs reprises avec des coups de poing et des coups de pied.

Une personne présente donne l’alarme et quelques minutes plus tard, la police arrive. L’homme de 31 ans a été secouru et emmené avec 118 tandis que les assaillants disparaissaient, comme engloutis par les airs.

Les violences ont été immortalisées par des caméras de vidéosurveillance et les images sont en cours d’examen par les enquêteurs.

Ceux qui ont été témoins des violences jurent que certains des assaillants sont ceux-là mêmes qui tiennent sous contrôle depuis des mois les clients et les gérants de divers établissements nocturnes, de la Via Lanzi à la Piazza dell’Olmo. Des gens qui auraient recueilli plus d’une plainte et qui auraient des liens solides avec le monde du trafic de drogue au centre-ville.

“Plusieurs fois ces derniers mois, j’ai été contraint de fermer mon établissement par peur”, raconte le propriétaire d’un restaurant réputé où tables et chaises se sont envolées en novembre.

«Nous avons besoin d’être protégés – ajoute-t-il – il n’est pas possible d’accepter l’idée que les jeunes devraient avoir peur de marcher en paix. Ce n’est pas juste que notre ville soit ruinée parce que quelques personnes continuent de semer la terreur dans le centre. »

© TOUS DROITS RÉSERVÉS

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Le Messager

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