mais dans les Marches, l’industrie ralentit

ANCÔNE Bienheureux est le tourisme, qui alimente à lui seul près de 3.600 embauches potentielles, car d’autres secteurs (comme les industries manufacturières) marquent le pas par rapport à il y a un an, avec une baisse à deux chiffres. Donc au final, entre les secteurs qui poussent et d’autres qui ralentissent, la balance est quasiment égale. Pour le mois de mai, les prévisions indiquent 12.750 contrats de travail que proposent les entreprises industrielles et de services avec salariés dans la région des Marches, soit une très légère baisse (-0,1%) par rapport aux prévisions du même mois de 2023.

Même tendance pour le trimestre mai-juillet, où les prévisions s’élèvent à 44.490 (-0,2% sur un an). Selon le dernier rapport du système d’information Excelsior de l’Unioncamere et du ministère du Travail et des Politiques sociales, la région des Marches est en retard par rapport à la tendance nationale, qui est positive tant pour les prévisions mensuelles du mois de mai (+5,8%) que pour les prévisions trimestrielles. ceux ( +2,2%).

Les intentions

Et le tableau des embauches que les entreprises seraient prêtes à procéder – dressé sur la base des résultats d’une enquête menée dans la région par la Chambre de Commerce – est, comme d’habitude, influencé par la saisonnalité.

La part des contrats proposés sous une forme stable (CDI ou apprentissage) est encore faible (18 %) et le pourcentage d’embauches pour lesquelles un diplôme est exigé diminue même par rapport à avril (de 10 à 7 %). En moyenne, il reste difficile pour les entreprises de la région des Marches de trouver les professionnels dont elles ont besoin : la difficulté à les trouver est en légère augmentation et a atteint en mai 51,5 %. La situation des recettes prévues n’est pas homogène sur l’ensemble du territoire. Les provinces d’Ancône (4.070, +2,3%) et Macerata (2.410, +3,4%) sont en croissance, tandis qu’Ascoli Piceno (1.850, -1,1%), Fermo (1.290, -3%) ont un signe négatif %) et. Pesaro-Urbino (3 140, ​​-3,4%).

Si l’industrie régionale ralentit en termes d’intentions d’embauches (4.640 nouvelles entrées attendues, en baisse de 7,8% sur un an), dans les services, 8.110 contrats de travail seraient activés, soit une croissance de +4,9%. Les tendances des secteurs qui composent ces deux macro-secteurs sont hétérogènes. «Dans l’industrie – explique le rapport de la Chambre de Commerce des Marches – la construction (1.090 entrées attendues) connaît une croissance modérée (+1,9%), mais les industries manufacturières et les services publics comptent 3.550 entrées attendues, soit une baisse significative (-10,4%). Dans les services, le commerce (1.610, +16,7%) et le tourisme (3.580, +8,5%) sont en croissance, tandis que les services aux entreprises (1.670, -5,1%) et aux personnes (1.260, -) ralentissent 2,3%)”.

3 mille dans les restaurants

Comme cela arrive habituellement à l’approche de la saison chaude, les commerçants et les employés des activités de restauration (3 090 embauches attendues) sont le groupe professionnel qui rassemble le plus grand nombre d’entrées prévues en mai dans la région des Marches, poursuivant ainsi la tendance des mois précédents. Viennent ensuite de loin les revenus attendus des vendeurs (1 020), puis du personnel non qualifié des services de nettoyage (830) et du personnel non qualifié chargé du déplacement et de la livraison des marchandises (610). La bourse se poursuit avec différents groupes d’ouvriers spécialisés : ceux impliqués dans la construction et l’entretien des structures de bâtiments (400), les conducteurs de véhicules à moteur et à traction animale (380), les ouvriers spécialisés impliqués dans la finition des constructions (370) et les artisans mécaniciens, monteurs, réparateurs, agents d’entretien sur machines fixes/mobiles (360). Séquence interrompue par le personnel chargé d’accueillir et d’informer la clientèle (330), appartenant plutôt au grand groupe des employés de bureau, des professions commerciales et de services, pour reprendre ensuite avec les ouvriers spécialisés dans la transformation du cuir, des peaux et des chaussures (270).

Les introuvables

La difficulté de les trouver est toujours élevée. Dans la région des Marches en mai, cela concerne 51,5% des recettes attendues (47,9% en mai 2023) et est principalement dû au manque de candidats (33,4%), tandis que l’insuffisance de la préparation des candidats a moins d’impact (14,4%) . Les demandes sont plus importantes pour les artisans mécaniciens, monteurs, réparateurs, agents d’entretien sur machines fixes/mobiles (360) et pour les ouvriers spécialisés impliqués dans la finition des constructions (370), avec une très grande difficulté à les trouver pour les deux groupes, respectivement 85,6 % et 82,5%.

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Courrier Adriatique

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