Naples, De Laurentiis tente de rouvrir les négociations pour rester à Castel Volturno

Le défi de la “nouvelle ère” n’est pas celui du nouvel entraîneur ou de l’héritier d’Osimhen : avec 250 millions entre réserves budgétaires et recettes de…

Déjà abonné ? Connectez-vous ici!

OFFRE SPÉCIALE

OFFRE FLASH

ANNUEL

49,99 €

19 €
Pendant 1 an

CHOISISSEZ MAINTENANT

MENSUEL

4,99 €

1 € PAR MOIS
Pendant 3 mois

CHOISISSEZ MAINTENANT

OFFRE SPÉCIALE

OFFRE SPÉCIALE

MENSUEL

4,99 €

1 € PAR MOIS
Pendant 3 mois

CHOISISSEZ MAINTENANT

Alors seulement 49,99 € au lieu de 79,99€/an

Abonnez-vous avec Google

Le défi de la “nouvelle ère” n’est pas celui du nouvel entraîneur ou de l’héritier d’Osimhen : avec 250 millions entre les réserves budgétaires et les bénéfices du transfert en or de l’attaquant nigérian, les alternatives au propriétaire Aurelio De Laurentiis ne manquent pas. Mais il y a un Naples qui est encore resté ancré dans le passé, vieux par sa taille : rien n’a jamais été investi dans un centre sportif, dans son propre stade, dans la création de l’équipe féminine, dans le renforcement du secteur jeunesse. Autant d’opérations qui se projettent dans le futur, mais qui s’inscrivent désormais dans les politiques du présent. Par contre, vous souvenez-vous du fameux « business plan » de Benitez ? Ici, commençons par là : rien n’a changé, aucune des réponses que l’Espagnol cherchait n’est jamais arrivée. Quand Spalletti parle du canapé-lit de son bureau, Château Volturno révèle un autre aspect du miracle bleu : il est vrai que – par choix – l’entraîneur avait choisi de dormir au centre sportif, mais il est également vrai qu’au siège il n’y avait pas (et il n’y a pas) de chambres équipées pour dormir. Pas un seul. Ce n’est pas une question de chasser Milanello ou Appiano Gentil: mais presque tous les clubs disposent désormais de leurs propres structures où ils peuvent gérer leurs camps d’entraînement. Et pas seulement ceux de la Ligue des Champions. Naples non. Ou plutôt pas encore. De Laurentiis circule, mais il faut des espaces, des terrains, des structures et des idées. Ce qui ne manque pas, ce sont les ressources : non seulement les liquidités mises de côté (au dernier bilan au 30 juin 2023, elles étaient d’environ 167 millions) mais aussi la ligne de crédit dont dispose un club solide comme Naples. Celui que vous décidez de contacter. Bagnoli ? C’est vrai, on en parle. Mais ce ne sont encore que des projets. Comme ceux qui le voient autour de Caivano, Afragola, les villes de la région vésuvienne. S’il y a un ralentissement, il est probablement lié à un rapprochement avec la propriété du centre technique de Castel Volturno : la famille Coppola a fait savoir qu’elle ne souhaitait pas renouveler le loyer qui expire fin 2025. Mais, peut-être , il y a une négociation en cours. Ce qui, peut-être, concerne aussi la structure hôtelière qui l’a accueilli de 2013 à 2015. Rafa Bénitez et une grande partie de son personnel et qui, jusqu’à il y a trois ans, accueillait également des retraites de footballeurs lorsqu’elles étaient programmées (la mutinerie de la nuit de Salzbourg était liée au refus de retourner à Castel Volturno).

Le pas en arrière

Mais ce n’est pas tant la neuvième place du classement, une mauvaise année arrive à tout le monde, cela peut arriver : c’est le projet de Naples qui va au-delà du manager et la campagne de signatures qui semble au point mort. Aujourd’hui, il y a la présentation des camps d’entraînement d’été qui garantissent environ 2 millions d’euros dans les caisses du club : un rituel qui s’est répété depuis le premier jour de De Laurentiis. Mais encore une fois, il n’y a rien dans l’air. Le secteur jeunesse erre entre Cercola (où joue l’équipe Primavera) et le centre Kennedy où toutes les autres équipes s’entraînent et jouent. Aucune équipe n’a brillé cette saison : la Primavera est en playoffs de promotion et a obtenu 5 points en Youth League ; les moins de 17 ans ont terminé avant-derniers, les moins de 15 ans troisièmes et les moins de 16 ans ne se sont pas qualifiés pour les séries éliminatoires. Parmi les fleurons de la couvée, sur lesquels espérer le boom, figurent Garofalo, né en 2007, et Prisco, fraîchement convoqué en équipe d’Italie des moins de 16 ans. Evidemment, on reste perplexe devant le silence qui a régné une fois de plus sur l’affaire du stade. : après la sensation initiale des travaux à réaliser dans l’ancien quartier Italsider pour un nouveau stade, il ne semble pas y avoir de plan B pour la rénovation du stade Maradona, qui reste un atout inaliénable de la municipalité de Naples. Malgré les tentatives du club italien de le reprendre. Il n’y a également aucune trace d’investissements réels d’une certaine profondeur dans le football féminin, le seul parmi les grands championnats de Serie A à ne pas avoir sa propre équipe mais une formation “satellite”.

© TOUS DROITS RÉSERVÉS

Lire l’article complet sur
Le matin

PREV aujourd’hui nuages ​​épars, mardi 11 partiellement nuageux, mercredi 12 orages et éclaircies
NEXT Vannacci, Salis, Decaro : les principales préférences des eurodéputés nouvellement élus