«C’était pour la fille qui m’a quitté»

“C’était une dédicace à la fille qui m’a quitté.” C’est ainsi que le jeune auteur de l’écrit qui a peint une façade du Palais Royal de Caserte, dans la nuit de mardi à mercredi dernier, se serait justifié auprès de la Police d’État de Caserte. Le jeune homme de 18 ans, d’origine tunisienne, serait en liberté, accusé d’avoir recouvert un mur du monument, déclaré patrimoine mondial par l’UNESCO, d’écrits avec de la peinture noire en aérosol. Après le signalement au 113, vers 2 heures du matin, des policiers de la Flying Squad sont intervenus sur les lieux et, également grâce à l’analyse des systèmes de vidéosurveillance du Palais, il a été possible d’identifier un garçon qui s’était enfui avec un vélo électrique. A peine âgé de 18 ans, l’auteur du vandalisme a été identifié, localisé à son domicile et conduit au commissariat.

Son geste avait soulevé une vague d’indignation. Le maire de Caserte, Carlo Marin, avait parlé d'”un massacre, une blessure pour notre ville et pour toute l’humanité, puisque nous sommes confrontés à un bien du patrimoine de l’UNESCO, ainsi qu’à l’un des plus beaux monuments du monde”, en espérant que le responsable de cet acte honteux soit identifié “au plus vite, qui aura payer pour ce qu’il a fait ». Le Ministre de la Culture Gennaro Sangiuliano, Inspirateur d’une loi qui oblige les vandales – une fois identifiés – à payer de leur poche les travaux de restauration des monuments dégradés, il espère que la police pourra “identifier au plus vite les responsables et qu’ils soient sanctionnés de la manière la plus absolue”. fermeté.”

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