Plus qu’une course, une fête populaire. Car jeudi, à Fano, même les gens aux balcons étaient habillés en rose. Et pas seulement sur les balcons donnant sur le circuit. Jeudi, dans la Cité de la Fortune, tout était teinté de la couleur symbolique du Giro d’Italia, dans un climat de partage et de plaisir qui a fait passer le « débat » bien au-dessus des polémiques à la veille des fermetures, des retraits forcés de voitures. et divers inconvénients.
Mais au-delà de la fête, on le sait, c’était avant tout une compétition. Le vainqueur a été le Français Julian Alaphilippe, 31 ans, avec une avance remarquable sur les deux athlètes qui le suivaient : son compatriote Jhonatan Narváez et le Belge Quinten Hermans.
193 kilomètres ont été parcourus par les cyclistes partis de Martinsicuro. Après les Abruzzes, les Marches. Les provinces d’Ascoli Piceno et Fermo, puis progressivement vers Pesaro. D’en haut – d’Italie et au-delà – ils ont pu apprécier les villages de Mondolfo et San Costanzo, suivis de Fano. La destination, le point d’arrivée, dans un Viale Gramsci décoré et festif. Mais d’abord, Tre Ponti, Bellocchi, Cuccurano, Monte Giove, la Darsena, le port. Tout le monde au rendez-vous pour le grand spectacle sportif diffusé dans le monde entier.
Nous vous proposons une première galerie photo de la journée – éditée par Simone Celli, Elena Arceci et Francesco Arceci -, qui sera suivie d’autres clichés et d’un récit vidéo.
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