Un cheval meurt au Palais Royal, son conducteur condamné à un an

Un cheval meurt au Palais Royal, son conducteur condamné à un an
Un cheval meurt au Palais Royal, son conducteur condamné à un an

Un an d’emprisonnement pour le conducteur accusé d’avoir causé la mort d’un cheval à l’intérieur du Palais Royal du Parc de Caserta le 20 août 2020. C’est ce qu’a décidé le juge du tribunal de Santa Maria Capua Vetere. Le parquet en avait invoqué trois.

C’est ce qu’a fait savoir Nadia Zurlo, responsable de LAV Equid Area, une association qui s’est portée partie civile auprès de l’avocat Cirpiano Ficedolo, du barreau de Bénévent. “Nous sommes satisfaits de la condamnation, mais nous ne pouvons pas oublier la douleur et la souffrance de Found Goal Pag – commente Zurlo dans une note – Sa mort représente un témoignage tragique de la cruauté infligée aux animaux non humains au nom du profit et de l’indifférence. Nous continuerons à nous battre pour qu’aucun autre animal ne subisse un sort similaire et pour un monde dans lequel chaque créature puisse vivre sans exploitation ni violence. »

Le juge, poursuit la note, « a reconnu la responsabilité pénale de la femme, coupable d’avoir refusé au cheval le repos et les soins essentiels pendant son « travail » sous le soleil implacable de cette journée d’été. cheval à souffrir d’un profond état de déshydratation, aboutissant à un coup de chaleur mortel et à un arrêt cardio-circulatoire qui a conduit à sa mort.

Le défenseur de l’entraîneur, l’avocat Paolo Falco, a annoncé qu’il ferait appel. “Nous attendons les motifs de la sentence mais évidemment la défense a l’intention de faire appel devant la Cour d’appel de Naples – commente-t-il à Casertanouvelles – Il existe de nombreuses incohérences que j’ai relevées lors de l’enquête préliminaire, notamment en ce qui concerne les dépositions des vétérinaires intervenus sur les lieux du décès du cheval, qui indiquent que le cheval transpirait. Cette hypothèse contraste totalement avec ce qu’a affirmé le conseiller technique du procureur qui estime que le cheval était complètement déshydraté. Ces incohérences dans le respect servile par mon client du règlement municipal et de celui émis par le directeur de la Reggia Felicori de l’époque seront les piliers du recours”, conclut l’avocat Falco.

L’association Horse Angels de Cesenatico était également partie civile au procès avec l’avocate Laura Mascolo.

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