Ne serait-ce que par patriotisme, Meloni serait heureux de se dissocier des enfants qui font l’éloge d’Hitler

Ne serait-ce que par patriotisme, Meloni serait heureux de se dissocier des enfants qui font l’éloge d’Hitler
Ne serait-ce que par patriotisme, Meloni serait heureux de se dissocier des enfants qui font l’éloge d’Hitler

Maintenant que le G7 est terminé (juste une remarque, je n’ai pas aimé la présence du pape, les autorités religieuses, toutes, papes, ayatollahs, imams, rabbins, doivent être tenues en dehors et éloignées des décisions politiques) autorités), nous pouvons demander à Giorgia Meloni de rentrer chez elle.

Chez lui, comme l’a montré l’enquête journalistique de Fanpage diffusée sur Piazzapulita, ce n’était pas vraiment une découverte, mais plutôt une confirmation, il y a des jeunes, des dirigeants et des parlementaires de son parti qui se déclarent fièrement fascistes, ils font le salut romain, ils célèbrent symboles du fascisme, ils font l’éloge du Duce et d’Hitler (cependant, cela ne me dérangeait pas que le service civil soit exercé au siège d’un parti, au contraire, pour autant que cela soit fait avec transparence, justesse et naturellement cela puisse s’appliquer à toutes les parties).

Ces personnes, jeunes, dirigeants et parlementaires, montrés dans le reportage télévisé et dans l’enquête journalistique, sont des personnes que Giorgia Meloni connaît bien, avec qui elle a eu et a une longue relation, ce sont des jeunes dont Meloni a dit qu’elle était fier et qui a remercié.

Ceux qui disent à juste titre, surtout à droite, que le fascisme n’existe plus, qu’il est mort il y a quatre-vingts ans et que c’est pour cette raison qu’ils ne veulent pas se déclarer antifascistes aujourd’hui, devraient l’expliquer à ces garçons, dirigeants et parlementaires. des Frères d’Italie. C’est donc Giorgia Meloni qui devrait dire à son peuple qu’il a tort, qui condamne ses pratiques et ses rituels, qui lui demande de ne plus recommencer, sinon il quittera son parti.

Au contraire, Meloni les remercie, elle est fière d’eux. C’est un problème, non seulement pour Meloni mais pour l’Italie, et pour l’Italie en Europe, parce que Fratelli d’Italia est un parti au pouvoir et Meloni est Premier ministre. Non, Meloni ne peut pas rester silencieux devant ces images, ces images de ses militants et parlementaires qui se comportent comme des fascistes et des nazis. Une fois le G7 terminé, Meloni doit intervenir, parce que ces images et ces personnes sont un problème spécialement pour elle et parce qu’elles deviennent un problème pour tout le pays.

Il n’est pas surprenant, franchement, que devant ces images, les alliés de Giorgia Meloni et Fratelli d’Italia, la Ligue, Forza Italia, les modérés s’ils existent, se taisent, de manière quelque peu ignominieuse. Il n’est pas surprenant que des personnes, tantôt au sein de Fratelli d’Italia, tantôt chez Giorgia Meloni, comme Marcello Pera et Giulio Tremonti, qui en raison de leur histoire personnelle et de leurs croyances, sont étrangères à ce monde, restent silencieuses. Il n’est pas surprenant que la communauté juive reste silencieuse. Ils gardent le silence par commodité, par opportunisme, par lâcheté.

Mais Meloni non, elle ne peut pas rester silencieuse. Face à ces images et à celles de ses citoyens, la droite ne peut pas simplement continuer à jouer la victime (d’une enquête journalistique !) ou tenter hypocritement de regarder ailleurs, vers les centres sociaux (qu’est-ce qu’il se passe ?!) qui ne sont certainement pas un expression d’un parti et d’un parti au gouvernement.

Ces images sont l’expression d’une mentalité, d’une coutume, d’une manière de se constituer au sein de ce parti, une manière malheureusement répandue et qui se diffuse de plus en plus dans la droite italienne. Ceci est démontré par les incidents et la violence des escouades cette semaine à la Chambre et par la même vieille conversation de l’actuel ancien porte-parole du ministre Lollobrigida.

C’est pour cela que Meloni doit intervenir et dire un mot clair, sans équivoque, définitif, au moins dire que même si elle n’en ressent pas le besoin, la nécessité de se qualifier d’antifasciste, les fascistes et les fascismes ne sont pas autorisés, ils ne sont pas autorisés. tolérable, dans son parti et dans cette Italie. Peut-être que vous perdriez quelques voix, mais vous, votre parti, la nation tout entière gagneriez en crédibilité.

PREV Foggia, maintenant Maiuri semble plus proche : les dernières nouvelles ⋆ lagoleada.it
NEXT Chaque année, 84 milliards d’euros sont éludés en Italie : le Trentin est la province la plus fidèle à la fiscalité – Actualités