Affrontements avec des supporters d’Avellino, acquittement demandé pour six ultras Grifo

PÉROUSE – Le terrain continue de réserver des déceptions. Mais une bonne nouvelle arrive du tribunal pour six ultras de Pérouse (appartenant au groupe Ingrifati) sous…

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PÉROUSE – Le terrain continue de réserver des déceptions. Mais une bonne nouvelle vient du tribunal pour six ultras de Pérouse (appartenant au groupe Ingrifati) jugés pour ce qui a été défini comme une agression contre des supporters d’Avellino, en octobre 2016 près du Curi, une heure avant le match entre les deux équipes. En effet, le ministère public, représenté hier dans la salle d’audience par le procureur Giampaolo Mocetti, a demandé l’acquittement de tous les accusés pour le délit de vol qualifié, car il n’y aurait pas eu de preuves suffisantes contre eux.

Au lieu de cela, une condamnation a été demandée pour un seul prévenu car au moment de la perquisition, suite aux affrontements qui ont suivi l’identification des ultras, une bombe en papier a été trouvée. La demande du procureur est d’un an d’emprisonnement et de trois mille euros d’amende, mais les défenseurs des six supporters (avocats Stefano Tentori Montalto et Andrea Pierozzi) estiment qu’il existe les conditions pour un acquittement également pour cette accusation le trois prochain juillet. quand les défenses seront discutées.

LES FAITS

Il faut revenir sept ans et demi en arrière. Nous sommes en octobre 2016, à environ une heure de Pérouse-Avellino (série B, 3-0 pour les Griffins) lorsque trois véhicules arrivent sur la Piazzale Umbria Jazz : à l’intérieur, les foulards et les vêtements des occupants ne laissent aucun doute. Ils sont verts et blancs, ce sont des fans d’Avellino. Une erreur du navigateur les emmène au milieu des acclamations rouges et blanches, à quelques mètres du commissariat et trop loin de l’entrée du Curi destinée aux invités. La reconstitution des faits confiée aux enquêteurs de Digos racontera une agression, qui s’est ensuite transformée en affrontement, par une dizaine de supporters rouges et blancs, dont six ont été jugés pour vol en compétition et quatre autres qui n’ont pas joué. un rôle actif.

Les images des caméras de surveillance de la Piazzale Umbria Jazz sont fondamentales pour retrouver les visages et donc aussi les noms et prénoms des supporters impliqués. L’enquête a duré quelques mois jusqu’à ce qu’en mars 2017, la police fasse une descente au domicile des six supporters. A l’époque, la police avait annoncé avoir saisi du matériel, jugé utile à l’enquête, “prouvant la participation à des activités violentes lors de manifestations sportives”. Une version fortement contestée à l’époque par les Ingrifati eux-mêmes avec une position claire.

Les six, ainsi que les quatre autres qui ont été définis comme non directement impliqués mais dont « le comportement, lors de l’épisode, était significatif en termes de violation des règles relatives à la participation à des événements sportifs », ont été notifiés comme de nombreux Daspo depuis plusieurs années. .

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