Atri, a battu sa mère avec un bâton puis a simulé un accident : condamné à 3 ans

Atri, a battu sa mère avec un bâton puis a simulé un accident : condamné à 3 ans
Atri, a battu sa mère avec un bâton puis a simulé un accident : condamné à 3 ans

Lorsqu’il s’est présenté aux urgences d’Atri avec sa mère de 58 ans pleine de contusions et de fractures, il a dit aux médecins qu’elle était tombée dans les escaliers mais la vérité est que c’est lui qui l’a frappée et battue jusqu’à ce qu’elle fut réduit à cet état. Après avoir été jugé pour violences conjugales, le Cermignano de 27 ans, toujours assigné à résidence, a été condamné à 3 ans de prison et va désormais pouvoir terminer sa peine par des travaux d’intérêt général.
Même avant que cet événement ne se produise, la mère et le fils étaient tous deux soignés à la Villa Serena, mais leur coexistence au sein du foyer n’était pas facile et la situation s’était aggravée vers la fin de l’année 2020, après le décès du père. Le jeune homme de 27 ans, comme son défenseur, l’avocat Giuseppe Olivieri, l’a révélé à plusieurs reprises lors de l’audience, aurait souffert d’une pathologie antérieure et pourtant rien n’a émergé quant à une éventuelle incompatibilité de la nouvelle évaluation psychiatrique demandée par le tribunal lors du procès. . avec le régime carcéral, encore moins sur son danger social.

COMPRENDRE ET VOULOIR
Par ailleurs, il a également été établi que l’accusé était capable de comprendre et de vouloir au moment du crime commis. Suite à une énième violence physique exercée sur sa mère après une dispute, la femme de 58 ans a été hospitalisée et a dû subir une chirurgie maxillo-faciale avec un pronostic ultérieur de 40 jours. À la maison, le jeune homme de 27 ans aurait apparemment souvent des accès de colère qui deviendront ensuite de plus en plus fréquents à l’égard de sa mère.

LE DOCTEUR
L’enquête a été déclenchée par un médecin des urgences d’Atri, où la femme est arrivée accompagnée de son fils en mars de l’année dernière. En effet, après l’avoir examinée, le médecin a appelé la police selon le protocole du code rose, soupçonnant qu’elle avait été victime de mauvais traitements. Lorsque deux patrouilles sont arrivées sur les lieux, elle s’est effondrée et a dit la vérité. Sur l’une des mains de l’homme de 27 ans, il y avait encore des traces des coups de poing qu’il avait donnés à sa mère, photographiés et versés au dossier du procès. Toutefois, personne ne s’est constitué partie civile au procès.

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