« Tirs accidentels, le tout en trois minutes »

Bologne, 18 mai 2024 – Polo et jean bleu électrique. Regardant droit devant. Comme Giampiero GualandiLe Policier de la circulation 63 ans accusé d’homicide volontaire de l’ancien collègue Sofia Stéfani33 ans, avec qui il était sorti une relationlui tirant une balle dans le visage au siège du commandement de la police locale Anzola jeudi dernier, je suis arrivé ce matin à l’audience de validation de la arrêté devant le juge d’instruction Domenico Truppa.

Giampiero Gualandi, mis en examen pour le meurtre de Sofia Stefani, un ancien policier de 33 ans, a répondu aux questions du juge pendant environ une heure et demie

Pendant une heure et demie, mec répondu aux questions du juge, soutenu par son avocat Claudio Benenati. Puis, le juge (qui s’était initialement réservé), dans l’après-midi, il a décidé de détention préventive en prison. A la fin de l’audience et de l’interrogatoire, le juge a accepté la demande du parquet, qui coordonne les enquêtes des carabiniers, reconnaissant le gravité de la preuve inculpé au suspect. L’arrêt n’a pas été validéparce qu’il n’était pas considéré comme existant le danger de s’échapper. Mais il a quand même été évalué le besoin de précaution.

“Sofia était en colère contre la fin de la relation”

«C’était un tir accidentel et non volontaire – explique l’avocat Benenati à la fin de l’audience -, à la suite d’une petite bagarre entre deux. La responsabilité de mon client pour homicide involontaire C’est hors de question, mais ce n’était pas un homicide volontaire. De plus, cela dépasserait toute logique, Gualandí il ne savait pas que la fille arrivait et par pur hasard il est allé la chercher le pistolet de service de l’armurerie, en vue d’un événement imminent exercice au stand de tir, ordonné par son commandant. Nous devons imaginer qu’il a mis en place tout ce stratagème insensé, tuer sans raison une personne qu’il aimait toujours au sein d’un commandement de police. Cela n’aurait aucun sens”.

La reconstitution donnée dans la salle d’audience par l’accusé est la suivante : la jeune femme l’aurait appelé plusieurs fois dès votre arrivée au «Maison jaune», alors qu’il avait récemment sorti l’arme de l’armurerie pour la nettoyer, par hasard. La réunion – de son entrée en fonction jusqu’à son appel au 118 – durerait trois minutes au total. Au cours de laquelle la jeune fille, en colère contre la fin d’une relation que l’homme avait décidé d’interrompre quelques mois plus tôt, l’aurait attaqué. À ce moment-là, il aurait aperçu le pistolet sur la table et aurait tenté de s’en emparer, peut-être pour s’en servir comme d’un objet contondant pour le frapper. Et le policier aurait essayé de arrache-le-lui des mains. À ce moment-là, il partirait accidentellement Le coup mortelqui l’a touchée juste en dessous de l’œil, ne lui laissant aucune issue.

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