Prix ​​Tomeo : les collèges Casalini en compétition, avec la comédie drôle “Giallo o rosa”

Prix ​​Tomeo : les collèges Casalini en compétition, avec la comédie drôle “Giallo o rosa”
Prix ​​Tomeo : les collèges Casalini en compétition, avec la comédie drôle “Giallo o rosa”

LENDINARA (Rovigo) – « Le théâtre donne aux enfants plus confiance en eux, les rend libres de s’exprimer et d’être eux-mêmes, développe l’esprit critique, les aide à devenir des personnes conscientes, protagonistes de leur propre vie et de la société. Je le dis depuis plusieurs années et maintenant, je suis heureux que ce message soit un peu répété par tous les invités.” C’est aussi une réussite personnelle pour le directeur artistique et créateur du Prix Tomeo, Irène Lissandrinque cette édition du concours est un véritable catalyseur d’énergie positive pour permettre à des groupes d’enfants et d’adolescents de monter sur une scène prestigieuse et de pouvoir se produire comme des professionnels.

Vendredi 17 mai au soir, Lissandrin a ouvert la sixième soirée du Prix Tomeo au Théâtre Ballarin de Lendinara, concours de théâtre pour les enfants de Polesine, organisé conjointement par l’association ViviRovigo avec la municipalité de Lendinara et Cittadella della cultura, le partenariat de la Région Arteven-Veneto-Mic et les municipalités de Badia Polesine, Rovigo, Taglio di Po et Loreo, la le patronage de la Province de Rovigo et de la Fondation Rovigo Cultura, du sponsor principal Inox Tech Spa et d’un impressionnant consortium de donateurs privés.

Le message pro théâtre est également venu du conseiller culturel de Lendinara, Francesca Zeggio, qui a généreusement assisté à presque tous les concours, qui a dit : “les écoles préparent, les familles aident, quelqu’un a mis en place une organisation extraordinaire, et tous ensemble nous avons monté ce théâtre ambulant, pour que nos enfants puissent s’entraîner et transformer leur manière de être.” Le maire de Lendinara est sur la même ligne Luigi Viaro, qui a ajouté que « le théâtre Ballarin est notre troisième place dans la ville : habituellement c’est un lieu pour les jeunes de différents types, mais depuis quatre éditions du Prix Tomeo, il est devenu un espace pour les jeunes, où le territoire devient une communauté “. Le directeur de l’IC Rovigo 3 était présent, Valéria Citoyenqui a exprimé sa fierté pour les enfants du collège Casalini de Rovigo et pour ses professeurs, qui monteront sur scène peu après.

L’image de la soirée est celle d’un théâtre à guichets fermés et de la petite place devant qui regorge d’enfants, de jeunes et de vieux, de familles, de supporters, d’enseignants enthousiastes, de conseillers et d’institutions de Lendinara, de gens qui qui vont et viennent en portant des « trucs », des ouvriers qui mordent dans un sandwich à la volée avant le spectacle. Les masques prêts à l’entrée du Ballarin illuminé ; le jury technique qui, après un énième café, court à la rencontre de l’ambassadeur de la troupe en compétition, pour préparer le vote conscient et réfléchi de la neuvième représentation (sur 13), celle de la troupe de théâtre de Lycée Casalini à Rovigo, en compétition dans la catégorie 11-14 ans, avec la nouvelle production « Giallo o rosa ». Puis, les différents membres, dossier en main, vont s’asseoir à leurs tables sous la scène. Vendredi soir, l’invité vedette était l’ancien vice-président du Teatro stable del Veneto, Valentina Noce.

« Giallo o rosa » est une agréable comédie de 65 minutes, avec 40 élèves sur scène et le texte original de Sara Piffer et Matteo Ferlin, dirigée collectivement. Les professeurs ont travaillé à retirer de la scène pour donner de l’espace aux histoires interprétées. Le décor est une copropriété, où la vie et les petits événements quotidiens se déploient entre les couloirs, les chambres, les appartements et la « réunion mythique de la copropriété ». Une panne d’électricité, le bruit du quatrième étage, les petites intolérances envers les chiens et les tourterelles, l’envie, l’insatisfaction personnelle, les amours platoniques, les arguties juridiques.

Une peinture sommaire d’une humanité variée, noble ou bornée, qui suscite un sourire de bienveillance bon enfant. L’idée scénique d’une intrigue modulaire interchangeable est très originale, virant vers le genre jaune ou rose, selon le vote du public, convenablement équipée de palettes colorées. L’utilisation des lumières est décisive pour attirer l’attention sur l’ouverture et la fermeture des scènes. L’action d’arrêt, avec l’intervention de la voix off, qui détaille les personnages, est intéressante. La scénographie est absolument louable, composée de murs faits de cartons, admirablement et efficacement assemblés qui, si nécessaire, divisent les différents environnements, rendant possibles plusieurs scènes en même temps. Un double applaudissement, pour l’esprit éco-durable et pour l’effet “faux minimal” qui sied bien au décor.

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