Ferrare s’accroche au facteur terrain. Dixième succès pour éviter de finir la saison

Ferrare s’accroche au facteur terrain. Dixième succès pour éviter de finir la saison
Ferrare s’accroche au facteur terrain. Dixième succès pour éviter de finir la saison

Ferrara Basket aura besoin de ses supporters, demain soir, pour surmonter l’obstacle Fidenza et forcer la série des demi-finales au match 3, dans le but de revenir au Pala Pratizzoli et d’espérer ensuite que la roue tourne enfin d’elle-même dans une installation que jusqu’à présent, cela n’a pas apporté de bons résultats pour les Bleu et Blanc. Mais il faut d’abord confirmer la Bondi Arena, où l’équipe d’Este n’a jamais perdu depuis l’arrivée de l’entraîneur Benedetto : et par hasard, les débuts à domicile de l’entraîneur calabrais sur le banc de Ferrare ont eu lieu contre Fidenza, le 17 janvier dernier. Cela s’est terminé 89-82, pour la première fois après des semaines de souffrance absolue, un changement de rythme a été perçu, puis soutenu par la progression en finale de la saison régulière et en Play-In : depuis lors pour Ferrara neuf victoires consécutives à domicile, et le sentiment que l’installation Piazzale Atleti Azzurri d’Italia est vraiment devenue un fort très difficile à conquérir.

Drigo et ses coéquipiers devront nécessairement atteindre le double des succès à domicile d’affilée pour prolonger la série et revenir à Fidenza, sinon la saison se terminera prématurément avec une pointe d’amertume en bouche surtout pour ce qui s’est passé en fin de match 1 : en plus des erreurs sanglantes qui ont coûté le match, un certain mécontentement a filtré dans le club à l’égard de la direction de l’arbitrage qui – selon le directeur Pulidori et également l’entraîneur Benedetto – aurait dirigé de manière significative le déroulement du match. Les épisodes litigieux concernent en particulier la dernière partie du match, avec Ferrara en avance de six points : une faute non détectée sur Marchini, qui aurait amené l’ailier sur la ligne pour deux lancers francs, et un contact préalable à l’infraction signalé à Ballabio. pour un cri à Valdo. On sait qu’en playoffs les détails comptent beaucoup, encore plus dans un match très équilibré : Ferrara aurait certainement pu mieux gérer certains ballons, mais l’entourage bleu et blanc n’a pas apprécié la gestion de l’arbitre dans les possessions finales et décisives.

Mais au-delà de tout, l’équipe de Benedetto a encore son destin entre ses mains : sans cadeaux et avec un peu plus de chance, Ferrara aurait pu réaliser un “full score” lors des trois matchs de la saison disputés contre Fidenza, compte tenu de la supériorité démontrée dans diverses situations. . Nous devons y penser maintenant, en plus de la conscience de jouer devant la poussée de nos supporters qui représenteront à nouveau le véritable « sixième homme ».

Jacopo Cavallini

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