à Tarente, un homme de 56 ans a été condamné

TARENTE – Un homme de 56 ans de la province de Tarente, accusé de mauvais traitements et de blessures infligées à son épouse, a été condamné à 4 ans et 2 mois de prison. Des violences qui, selon le récit de la femme, duraient depuis plus de 20 ans et que la femme a eu le courage de dénoncer il y a quelque temps seulement, ouvrant ainsi l’enquête.

Dans la plainte que la femme a présentée par l’intermédiaire de son avocat, Me Flaviano Boccassini, on lit qu’avec une fréquence inquiétante, elle a été la cible de violences physiques, verbales et psychologiques de la part de son ex-mari. Et à plusieurs reprises, il a dû recourir à des soins médicaux, sans jamais révéler comment ces blessures étaient arrivées.

En octobre 2019, par exemple, les coups infligés par l’homme lui ont causé des fractures des côtes, tandis qu’à d’autres occasions, elle s’est retrouvée enfermée dans la maison avec son fils pendant toute la journée de travail de son mari : en bref, pendant huit heures, mère et fils, ils ont été contraints de rester séparés et éloignés du reste du monde. Mais il y a plus, malheureusement. Après chaque dispute, elle était insultée de toutes les manières et, pire encore, on lui montrait la porte : elle était expulsée de la maison après avoir été battue. Entre-temps, les deux enfants, et un en particulier, ont été battus. «Un mode de vie humiliant et dégradant», lit-on dans les documents de l’enquête menée par la justice. En outre, dans les documents que nous lisons en 2019, une autre dispute furieuse a éclaté entre les deux lorsque la femme l’a découvert en train de visiter des sites pornographiques : la fureur de l’homme à ce moment-là s’est manifestée en jetant une bouteille dans un sac en plastique rempli d’eau qui a frappé sa femme. sur la poitrine. Des douleurs aiguës l’ont accompagnée pendant deux jours jusqu’à ce que, dans les premiers jours de novembre, elle décide de se rendre aux urgences : les examens ont révélé des fractures des côtes au point de nécessiter un transfert et une hospitalisation.

Finalement, comme nous l’avons mentionné, la femme a trouvé le courage de tout révéler à la police et, au cours des dernières heures, son mari a été condamné à l’issue du procès en première instance. Le juge a également ordonné qu’un procès civil devra chiffrer le montant de l’indemnisation que devra recevoir la femme : l’avocat Boccassini, se constituant partie civile, avait formulé une demande de dommages et intérêts de 50 mille euros.

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