Caltanissetta. Lycée Classique “R. Settimo”: le 24 mai représentation de la tragédie “Oreste” d’Euripide au Teatro Rosso de San Secondo – il Fatto Nisseno

Caltanissetta. Lycée Classique “R. Settimo”: le 24 mai représentation de la tragédie “Oreste” d’Euripide au Teatro Rosso de San Secondo – il Fatto Nisseno
Caltanissetta. Lycée Classique “R. Settimo”: le 24 mai représentation de la tragédie “Oreste” d’Euripide au Teatro Rosso de San Secondo – il Fatto Nisseno

CALTANISSETTA. Il y a une grande attente pour la représentation de la Tragédie “Oreste” d’Euripide mise en scène par Giuseppe Cutino qui sera jouée au Teatro Rosso de San Secondo le 24 mai à 21h. Elle a été organisée par le Liceo Classico Ruggero Settimo dont il est le professeur. directeur d’école l’enseignant. Irène Collerone.

L’Oreste se présente comme une tragédie négative. D’une pertinence déconcertante. Relations toxiques, drames familiaux, identités confuses, folie, désespoir, machisme ambiant ; mais au final, une fin heureuse forcée : le Deus ex machina qui arrive et résout l’insoluble, tente de remettre de l’ordre mais laisse le spectateur consterné. Comment rendre ce texte nécessaire pour un adolescent ?

C’est là le plus compliqué : trouver la bonne interprétation pour impliquer les enfants sur scène ; comme toujours, l’observation attentive de la réalité nous apporte des solutions : comprendre où réside le malaise des nouvelles générations, l’identifier dans leur besoin de trouver un vrai dialogue où doit prévaloir l’écoute et pas seulement les mots, même et surtout dans les moments sombres et difficiles. d’une existence; les enfants n’ont souvent plus de repères, à la maison, à l’école, dans la vie de tous les jours et doivent les créer ailleurs, au risque cependant de ne pas bien comprendre la direction qu’ils prennent.

Dans notre Oreste, tout devient un cauchemar généré, né de l’esprit de ce jeune matricide, qui essaie de trouver des justifications à ses actes mais se tord, se noue et se noue de plus en plus. Mais est-il vraiment le mouton noir ? ou est-il simplement un bouc émissaire ? et l’arrivée d’Apollon, dans le final, est-elle peut-être la manière la plus simple de conclure une histoire qui a commencé on ne sait combien d’années auparavant ? et puis, à qui la faute ? peut-être d’un Dieu ? Et sommes-nous vraiment sûrs que cela s’est vraiment passé comme ça ? ou est-ce nous, nous qui croyons écouter une voix d’en haut alors qu’en réalité ce n’est rien d’autre que notre imagination, notre projection qui nous parle ?

Personnages et interprètes : Oreste – Mario Santoro ; Electre – Valéria Lacagnina ; Elena – Cécilia Cammarata ; Ménélas – Marco Di Francesco ; Tindaro-Francesco Lipani; Pilade – Danièle Volpe ; Clytemnestre – Giulia Nicosie ; Messager – Sarah Tirendi; Hermione – Briseide Tricoli; Phrygien 1 – Pietro Bellante ; Phrygien 2 – Giovanni Di Natale.

Chœurs : Isaac Adam, Paolo Contento, Rachele Ferro, Alessandro Giambra, Donatella Giambra, Alice Giannavola, Giulia Giordano, Anna Sofia Giorgio, Agnese Guzzo, Fatima Ndoye, Leonardo Ormando, Angela Palermo, Francesco Pittari, Paola Sole, Daria Speranza

Danseurs : Anthea Alabiso, Vittoria Maria Alaimo, Carlotta Andaloro, Luna Anzalone, Alessia Bartolomeo, Elide Carlino, Simona Chirdo, Giorgia Collura, Sara Corvo, Ester D’Agostino, Martina Di Gloria, Manuela Di Pietra, Alessandra Dimarco, Elisa Falco, Giulia Foglietto, Veronica Graglia, Flavia Gucciardo, Clara Guzzardi, Asia Lipani, Sofia Lo Russo, Sara Lombardo, Sara Noto, Maria Pia Petralito, Silvia Polizzi, Rebecca Scarpinati, Maria Anita Serio, Vanessa Strazzanti, Nicole Trabona, Gloria Trevigne, Sara Trusci

assistants réalisateurs : Lavinia Carelli, Piero Paci, Calogero Viola

Assistantes costumes : Maria Vittoria Castro, Elena D’Orto, Sofia Galanti, Carla Russa, Cristina Ismail, Giorgia Milia, Danila Paolillo, Sofia Petrotto, Beatrice Rizzo, Federica Torchia, Silvia Vasile

adaptation texte, scène, mise en scène : Giuseppe Cutino

chorégraphie : Ambra Lo Turco

conception lumière : Marco Tumminelli

vidéo : Leonardo Ormando et Lavinia Carelli

merci à : Fabio Fiorenza, Corrado Sillitti

coordination du laboratoire : Aldo Giordano, Marzia Guarneri, Marcella Romano, Maria Grazia Trobia

coordination générale – Directrice Irene Cinzia Maria Collerone

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