“Faux protocoles de gestion de la RCR, les préfectures ne contrôlent pas”. Altreconomia, « 33 inspections (également à Caltanissetta), seulement 50 % rapatriées en 2024 » – Il Fatto Nisseno

“Faux protocoles de gestion de la RCR, les préfectures ne contrôlent pas”. Altreconomia, « 33 inspections (également à Caltanissetta), seulement 50 % rapatriées en 2024 » – Il Fatto Nisseno
“Faux protocoles de gestion de la RCR, les préfectures ne contrôlent pas”. Altreconomia, « 33 inspections (également à Caltanissetta), seulement 50 % rapatriées en 2024 » – Il Fatto Nisseno

« Des protocoles faux ou manifestement invraisemblables dans les contrats à plusieurs millions de dollars annoncés par les préfectures pour la gestion des centres de rétention pour le rapatriement ». C’est ce qui ressort de l’enquête Altreconomia, rédigée par Lorenzo Figoni et Luca Rondi, présentée aujourd’hui au Sénat. « Les préfectures ne contrôlent pas les CPR. Enquête sur les achats et la gestion», tel est le titre. Cours de guitare, groupes de bricolage ou de lecture sont quelques-unes des promesses “irréalisables” que “les organes directeurs de certains CPR italiens ont indiqué noir sur blanc pour remporter des appels d’offres publics pour un total de près de 25 millions d’euros”.

Avec l’accord (et l’absence de contrôle) du préfet», lit-on dans l’enquête menée en analysant les documents inédits obtenus grâce à l’accès civique du journal. Selon l’enquête, 33 inspections ont été réalisées dans neuf centres de rétention pour rapatriement : « 30 % au Palazzo San Gervasio (11 sur la période 2019-2024), suivi de Milan (six entre 2020 et 2023), Bari (six entre 2022). et 2023), Rome (trois, 2022-août 2023).

Deux à Macomer (2020-2024) et Caltanissetta (2023). Un seul à Brindisi (2023-2024), Trapani et Gradisca d’Isonzo (la période n’est pas précisée) ». Par ailleurs, l’analyse indique qu’en janvier 2024 « seulement 462 personnes sont passées par les CPR. Moins de 40% de la capacité totale prévue par les contrats égale à 1.281 sièges”. Au cours de la même période l’année dernière, « 559 » personnes sont passées par là. « Entre janvier 2023 et fin février 2024 – est-il alors souligné – près de 50 % sont d’origine tunisienne ». Sur un total de « 45 nationalités ». L’année dernière, “6.620 personnes sont passées par les CPR”. Selon les données du Garant national des personnes privées de liberté personnelle, l’enquête indique que “3.134 ont effectivement été rapatriées (moins de 50%)”. (Poignée)

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