Nicola Aprile, ancien commissaire de Cus Pisa Il Tirreno, condamné

PISE. Il a été accusé de détournement de fonds et de détournement de fonds pour avoir utilisé de l’argent destiné à la Cus de Pise à des fins non institutionnelles. Au cours de l’enquête, il est apparu que lors de ses séjours à Rome, l’avocat Nicolas Aprile, 53 ans, fréquentait les salles de bingo et fréquentait les hôtels. Pour cette raison, l’ancien commissaire de la Cus a été condamné en première instance à trois ans et huit mois de prison avec une somme provisoire immédiatement exécutoire de 37 mille euros à verser à l’organisme sportif universitaire, le reste du préjudice étant à établir en Cour civile. Mardi 21 mai, la Cour d’appel de Florence a confirmé la condamnation prononcée par le juge de l’audience préliminaire de Pise. Donato D’Auria contre l’avocat, ancien commissaire de la Cus pendant environ un an de 2017 à 2018.

L’avocat a toujours nié ces accusations, se disant prêt à démontrer en appel sa totale innocence. Mais ce n’était pas le cas. Le Cus, assisté de l’avocat Federico Corti du Tribunal de Lucques, n’entend pas renoncer à l’action en récupération de l’argent, ainsi qu’à celle en matière de constatation de la responsabilité pénale en cas de pénurie. Selon le parquet de Pisan, les fonds qui auraient été détournés sont des fonds que la Cus reçoit à la fois du secteur public et du secteur privé. Comportement identique de retrait indu d’argent du Centre sportif universitaire, mais avec un caractère substantiel distinct en raison de l’origine de l’argent entre les inscriptions privées et les fonds universitaires.

L’avocat Aprile, défendu par les avocats Mario De Giorgio du Tribunal de Pise et Vittorio Manès de Bologne, avait été expulsé de la Cus sous l’accusation d’avoir fait disparaître au moins 55 mille euros, dont 17 mille euros ont ensuite été restitués. Il avait été nommé par Cusi, le centre sportif universitaire italien.

L’expérience d’avril a été suivie par l’expérience du commissaire aux avocats Marco Treggi ce qui a mis en lumière l’essentiel des déficits et a lancé la Cus sur la voie du redressement comptable.

Après le jugement en première instance, l’accusé a fait savoir par l’intermédiaire de ses avocats qu’il n’était pas impliqué dans les faits litigieux. “J’ai confiance dans le système judiciaire, cela me donne la tranquillité d’esprit car je sais que je pourrai prouver mon innocence en deuxième instance”, a-t-il déclaré.

Il est donc probable qu’il suivra également le chemin de la Cour suprême. Entre-temps, les motifs de la sentence en appel seront déposés dans 90 jours.

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