Les trottinettes et les pistes cyclables se multiplient, mais il y a peu d’arbres dans la ville. Le rapport Istat

Les trottinettes et les pistes cyclables se multiplient, mais il y a peu d’arbres dans la ville. Le rapport Istat
Les trottinettes et les pistes cyclables se multiplient, mais il y a peu d’arbres dans la ville. Le rapport Istat

Stable lepollutionavec une diminution des dépassements journaliers, tandis que la production de déchets par habitant, avec la valeur la plus élevée depuis 2015. Le nombre de scooters électriques et celle des bus Euro 6 augmente. La consommation d’eau diminue alors qu’il reste très peu de consommations d’eau. des arbres par habitant. Ce sont, en résumé, les valeurs de rapports Istat sur leEnvironnement urbain lié à Lecce et faisant référence à l’année 2022.

À partir des données nationales sur la qualité de l’air, on constate une nette aggravation dans les communes de la capitale : les concentrations annuelles moyennes de PM2,5 augmentent dans 56 des 93 communes de la capitale qui ont effectué une surveillance (60%) via 171 stations de détection fixes. La tendance des PM10 s’aggrave également dans les 100 capitales avec un suivi effectué par 264 unités de contrôle, qui enregistrent des augmentations de concentrations dans 75% des cas. Lecce se trouve dans une situation intermédiaire : 8 dépassements quotidiens (la source est évidemment le trafic), contre 13 en 2021. Il y a eu 24 (23 en 2021) dépassements de la moyenne annuelle de PM10 et 14 (13 l’année précédente) ceux relatifs aux PM2,5.

Situation à la limite, mais ce n’est pas nouveau, pour la production de déchets. En 2022, la capitale du Salento s’est hissée à la 34ème place nationale, avec 545 kg par habitant (un peu au-dessus de la moyenne nationale de 536 kg/habitant), une augmentation par rapport à la baisse vertueuse enregistrée depuis 2015 (597 kg/habitant). En tête se trouve Plaisance (755 kg/habitant), tandis qu’en bas du classement se trouve Reggio de Calabre (395 kg/habitant). Lecce, dans les Pouilles, est derrière Bari (554 kg/habitant) et Tarente (549 k7 habitants) et devant Foggia (544 kg/habitant), Brindisi (541 kg/habitant), Trani (464 kg/habitant), Barletta ( 450 kg/habitant) et Andria (446 kg/habitant).

Données sur les transports publics

Le rapport analyse également, au niveau national, les transports publics. En 2022, le nombre total de bus en circulation a légèrement diminué (-3,2 %), résultant d’une réduction de 20 % des véhicules les plus obsolètes (Euro 4 ou antérieurs) et d’une réduction de 10,3 % des véhicules Euro 5, et de une augmentation simultanée de 12,7 % des véhicules Euro 6 ou électriques (zéro émission). En cinq ans, la part des bus de classe Euro 6 ou zéro émission a presque triplé, passant de 16,9 % en 2017 à 48,5 %, comblant ainsi les écarts qui pénalisaient les villes du sud de l’Italie et les capitales métropolitaines. Lecce confirme cette tendance même si elle n’atteint pas encore les valeurs moyennes nationales, avec 32% en 2021, année au cours de laquelle il y a eu un tournant dans le parc de véhicules écologiques, bien que loin de Tarente (86%) et des autres capitales des Pouilles, partout le 40% à l’exception de Foggia (8%). Il n’y a que 2,4 (pour 10 000 habitants) taxis présents dans la ville (23 licences en circulation), tandis que la disponibilité globale du vélo en libre-service a diminué (7,4 véhicules pour 10 000 habitants) en raison de la disparition des services de libre circulation : au contraire, les services de partage de scooters et de micromobilité électrique (scooters) ont explosé, atteignant 76 pour 10 mille habitants (719 en valeur absolue), plaçant Lecce au deuxième rang national après Imperia avec 142 véhicules par rapport aux résidents. Le nombre de km de pistes cyclables urbaines est le plus élevé de toutes les Pouilles, soit 37 km. Ce chiffre est toutefois fixé pour 2020 et sera certainement révisé à la hausse dans les rapports des prochaines années.

Les chiffres sur les arbres

Le nombre d’arbres est supérieur à 20 pour 100 habitants, un chiffre encore insuffisant par rapport aux villes du nord : même les espaces naturels sur l’ensemble du territoire sont bloqués à 12,75%, tandis que la verdure urbaine ne représente que 0,39% de la superficie totale de la commune, en augmentation de seulement 0,2%, ce qui n’inclut cependant pas les reprises des dernières années. Les mètres carrés de verdure par habitant s’arrêtent à seulement 9,9%, juste au-dessus de la norme minimale fixée par la loi et très loin des presque 33 mètres carrés de la moyenne nationale.

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Journal des Pouilles

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