«Pénurie dramatique de personnel, de formation, heures supplémentaires non rémunérées»

Sur les 56 travailleurs membres du personnel, 45 ont répondu, avec 39 pour. Après les employés des bureaux administratifs de Tribunal et parquet de Bergame, le personnel de la Préfecture est également en pleine agitation depuis jeudi 23 mai. Ils en ont décidé après une consultation des travailleurs et après une nouvelle réunion avec la direction de l’institution. «Manque de personnel, réduction de au fil du tempsdes tickets repas inutilisables, le manque de formation et une situation difficile au siège de via Zelasco sont les problèmes les plus critiques auxquels les travailleurs sont confrontés au quotidien et qui ont déjà été signalés à plusieurs reprises par les organisations syndicales”, lit-on dans une note de la CGIL, du CISL et de l’UIL.

«Le mandat donné au côté syndical était très clair: 39 travailleurs se sont déclarés favorables au déclenchement d’un état d’agitation (93% de ceux qui ont exprimé leur opinion)» ont rapporté Leopoldo Chiummo pour la FP CGIL, Fabio D’Aniello pour la CISL FP , Maria Rita Errante pour l’UILPA, Maurizio Lurgio pour l’UNSA, avec le RSU. « Lors d’une réunion avec la Préfecture le 9 mai dernier, nous avons à nouveau signalé tous les problèmes et demandé un retour écrit dans un délai de dix jours. Le 17 mai, l’Administration nous a envoyé la communication de réponse. Tout en reconnaissant que quelques premières mesures ont enfin été mises en placeles mesures mises en œuvre ou proposées sont en grande partie insuffisant par rapport aux questions critiques Souligné.” «C’est pour cette raison que nous avons proclamé avec le RSU l’état d’agitation en espérant que cela puisse servir à résoudre efficacement les problèmes”, poursuivent les syndicalistes.

Maintenant, que se passe-t-il ? « L’appel à la procédure de refroidissement est déjà programmé le mercredi 29 mai à 17 heures, soit pour une conciliation possible. Il est entendu que si la réunion n’aboutit pas à un résultat positif, toutes les mesures nécessaires seront prises, cy compris la proclamation d’une grève.

Les raisons de la protestation. Pénurie de personnel: «Malgré l’ajout récent de quelques nouvelles unités, la pénurie reste dramatique et sera encore exacerbée dans les mois à venir, au cours desquels de nouveaux départs à la retraite auront lieu».

Au fil du temps: «Suite à la réduction des heures supplémentaires communiquée par le bureau du personnel en décembre, le RSU a envoyé plusieurs communications écrites à l’administration pour demander des éclaircissements, sans résultat positif. Il est inacceptable que la Préfecture adopte une telle attitude à l’égard du syndicat – et donc de l’ensemble des travailleurs représentés – tout comme il est inacceptable que des heures supplémentaires déjà effectuées (et dans certains cas déjà autorisées) soient décomptées en l’absence d’information préalable du travailleurs concernés”.

«En outre – poursuit la note -, il y a des rapports continus retards dans le paiement des heures supplémentaires payées par les salariés, dans une situation où, en fait, les heures supplémentaires sont de plus en plus utilisées pour “boucher les trous” causés par la grave pénurie de personnel dans tous les bureaux. Il est également nécessaire de clarifier davantage les procédures d’autorisation des heures supplémentaires et la communication préalable aux travailleurs. Enfin, il est honteux que des collègues inclus dans le contingent électoral de 2023 attendent toujours – plus d’un an après – de recevoir le montant qui leur est dû au titre des heures supplémentaires liées aux dernières élections régionales. Dans ces conditions, on se demande qui sera prêt à faire des heures supplémentaires pour les prochaines élections de 2024. »

Situation du siège social via Zelasco : «Des problèmes critiques liés à la mauvaise qualité sont signalés depuis longtemps nettoyage des escaliersà l’incapacité de réparer leSystème de conditionnement d’air (refroidissement) et en général à conditions de sécurité précaires du bâtiment. L’absence prolongée d’un administrateur a entraîné des problèmes persistants dans la gestion des parties communes de l’immeuble. » Entraînement: «Dans de nombreux cas, les employés n’ont pas la formation nécessaire pour fonctionner et très souvent les travailleurs sont affectés ou transférés dans des bureaux sans transfert et sans formation spécifique».

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