Trop d’accidents entre véhicules et animaux sauvages, caméras thermiques et capteurs arrivent pour avertir les automobilistes. Le maire : “C’est comme ça qu’on protège la vie des gens”

Trop d’accidents entre véhicules et animaux sauvages, caméras thermiques et capteurs arrivent pour avertir les automobilistes. Le maire : “C’est comme ça qu’on protège la vie des gens”
Trop d’accidents entre véhicules et animaux sauvages, caméras thermiques et capteurs arrivent pour avertir les automobilistes. Le maire : “C’est comme ça qu’on protège la vie des gens”

CAVALAIS. Une série de caméras thermiques pour signaler la présence et le passage d’animaux sauvages. Un projet à Val di Fiemme a été financé et approuvé, environ 60 mille euros à travers Plan de développement rural.

“Cela a été un long processus mais maintenant nous pouvons commencer par le positionnement de cette instrumentation”, commente-t-il. Sergio Finato, maire de Cavalese. “L’objectif est double : protéger les automobilistes mais aussi les animaux sauvages.”

Une quinzaine d’appareils sont prêts à être positionnés le long de la route en fond de vallée dans la zone de Cavalese. “Les résultats des expérimentations réalisées dans les territoires sont positifs et nous avons décidé de nous concentrer sur cette solution. La perspective est d’avoir terminé l’installation d’ici la fin de l’été”.

Les accidents entre véhicules et animaux sauvages sont très graves dans les territoires. Un sujet particulièrement ressenti dans les territoires. Il existe des centaines de cas, notamment des cerfs et des chevreuils, des sangliers, des loups et d’autres petits mammifères comme les renards, les blaireaux, les écureuils, les lièvres et les martres.

la plupart des investissements se passe entre coucher et lever de soleil, lorsque de nombreux animaux sont plus actifs et que la visibilité des automobilistes est réduite, ils ont également tendance à se concentrer au printemps et en automne. ET, sselon un rapport du Service de Gestion des Routes de la Province de Trente près de 95 % des investissements sur les ongulés ont lieu sur 30 % du réseau routier.

Les données en possession de la Province indiquent également qu’il en existe certaines rues où la probabilité de rencontrer ce type de les accidents il est plus grand. Pour quelle préoccupation cerf les « zones chaudes » sont le trait de route nationale 42 entre Ossana et Dimaro et le route provinciale 232 et route nationale 48 à Cavalese.

“C’était un voyage participatif avec le soutien duassociation de chasseurs et de Station forestière du Val di Fiemme. Nous commençons maintenant cette première phase mais nous sommes convaincus que ce projet est très intéressant et qu’il pourra ensuite être reproduit sur d’autres routes et dans d’autres zones du Trentin”, conclut Finato.

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