Essaim sismique aux Campi Flegrei, Basilicate prêt à accueillir la population en cas d’urgence

Après le dernier essaim sismique dans les Campi Flegrei au cours de la semaine dernière, la crainte que quelque chose de plus grave ne se déclenche se fait de plus en plus sentir dans l’esprit des habitants.

Au cas où cette crainte se réaliserait, le directeur de la Protection Civile de la Région Basilicate, Giovanni Di Belloa démontré sa disponibilité et son accueil si le séisme pouvait ou devait causer de graves difficultés.

L’organisation possible

Au cas où un tremblement de terre plus violent menacerait la ville de Naples, le directeur de la Protection Civile de la Région de la Basilicate, Giovanni Di Bello, semble disposé à l’accueil de la population du quartier Bagnoli, commune 10 de la commune de Naples. La nouvelle a été connue après la publication d’une note du bureau de presse du conseil lucanien.

Giovanni di Bello s’exprime sur la question des Campi Flegrei

“Est Basilicate et Calabre ils se jumellent en circulant vers la même direction intentionnelle. En effet, tous deux, en cas de besoin, accueilleront les habitants du quartier Bagnoli, commune 10 de la commune de Naples. Le modèle d’intervention du plan de protection civile prévoit différents types de risques volcaniques. Ce sont des niveaux d’alerte préétablis qui symbolisent les différents degrés de danger provenant des Campi Flegrei. Ces indications se révèlent par les différentes couleurs que peuvent suivre l’actualité. Ils peuvent être identifiés vert, jaune, orange et rouge« .

« L’attribution d’une de ces couleurs à une situation donnée démontrera le niveau de danger actuel. Ce processus sera précédé d’évaluations scientifiques minutieuses réalisées parObservatoire Vésuvien de l’Institut National de Géophysique et Volcanologie. À l’heure actuelle, sur la base des pratiques et des considérations de surveillance, le jaune est la couleur qui décrit la situation actuelle. Avec cet indicateur, nous voulons désigner une phase dédiée à l’attention et à la prudence”. Cependant, d’autres réalités se croisent dans cette considération générale. En fait, il existe des zones avec d’autres couleurs ; révèle Di Bello.

Zones rouges et familles à risque

Selon la planification nationale de la Protection Civile, certaines zones sont exposées à un plus grand risque en cas de tremblement de terre, car elles sont plus exposées auxinvasion de coulées pyroclastiques. Les habitants qui vivent dans cette zone sont environ 500 mille. Cette zone est suivie d’une autre zone jaune qui est différente de la zone globale car soumise aux retombées des cendre volcanique, où vivent 800 000 personnes.

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