Le premier rendez-vous est le samedi 8 juin, à l‘Orto Raccolto di Andria (9h00) : rédacteur et éditeur du bulletin d’information Armes volées Barbara Bernardini, auteur du volume Dall‘jardin du monde (Edizioni nottetempo), nous dira comment c’est possible “changer le monde avec un groove”, c’est-à-dire comment la pratique du‘Le jardin peut devenir un prétexte pour réfléchir à la crise environnementale et résister à ses effets, retrouver un lien avec la terre et imaginer un autre avenir possible. Pour accompagner le débat, l’atelier plantation et désherbage entre les sillons. L’écrivain Paolo Pecere, auteur de l’essai, sera également présent au festival le même jour Le sens de la nature. Sept chemins vers la Terre (Sellerio) qui à 18h00 (Séminaire Épiscopal) qui aura un dialogue psychédélique avec les écrivains Andrea Piva et Nicola Lagioia, les trois partiront des mystères d’Eleusis jusqu’au‘rencontre avec d’autres intelligences animales. Un voyage à travers l’histoire de la pensée qui regarde à la fois le passé et l’avenir de la Terre, un avenir encore à écrire : ces dernières années, l’impact destructeur de la civilisation humaine sur la nature a été reconnu, mis en évidence par les catastrophes climatiques, les extinctions de espèces animales entières, désertification et disparition des paysages. Pourtant, cette prise de conscience ne produit aucun changement réel dans nos modes de vie, dans les solutions adoptées par les sociétés industrielles pour éviter les calamités. Dans le même temps, nous assistons à la propagation d’un amour passionné et d’une profonde nostalgie d’une nature intacte, refuge contre la discorde assourdissante du monde.
Lundi 10 juin (21h30, Séminaire Episcopal) rendez-vous avec l’écrivain et acteur Massimiliano Loizzi, visage d’Il Terzo Segreto di Satira, avec sa rencontre Des histoires pour la fin du monde. La fin approche. Une histoire urgente, profonde et actuelle, faite de fragments d’histoires tragiques et comiques : une‘collection intense de contes de fées pour adultes conçus pour réfléchir‘urgence environnementale, un projet créé en collaboration avec Mediterranea et Plastic Free qui montre le pouvoir évocateur des histoires et combien notre capacité à imaginer un monde différent peut influencer celui actuel.
Jeudi 13 juin (19h, Séminaire Episcopal), ce sera le tour de l’écrivain, convoqué Géoconsultant à la direction artistique de Faire la bonne chose Sara Segantin et autres‘la militante écologiste Alice Franchi, qui nous parlera de leur projet Le droit de réexister. Les femmes au bord d’une crise climatique. Sur les traces d’Harriet Chalmers Adams, première femme photojournaliste au monde, les jeunes femmes se sont aventurées dans les territoires les plus menacés d’Amérique centrale, pour voir, écouter et documenter les histoires de lutte et de résistance d’activistes, de communautés et d’associations luttant pour la protection de l’humanité. et droits environnementaux : ils ont traversé le Mexique, le Belize, le Guatemala, le Salvador, le Honduras, le Nicaragua, le Costa Rica et le Panama, des territoires parmi les plus touchés par la crise climatique, où les catastrophes environnementales réduisent plus de deux millions de personnes à l’extrême pauvreté.‘année pour créer un réseau de collaboration entre les femmes et les communautés qui luttent au quotidien et leur donner de la visibilité pour qu’elles deviennent un exemple de développement durable au niveau national et international.
Le vendredi 14 juin, Sara Segantin reviendra au Festival pour s’entretenir avec le journaliste scientifique Roberto Inchingolo, auteur du livre La revanche des orques (Code des éditions) : avec les deux nous évoquerons notre rapport aux animaux, que nous avons tendance à considérer comme sous notre contrôle, ainsi qu’à la Terre et‘environnement qui nous entoure, modelable pour notre usage et notre consommation. Mais – des flamants roses qui s’échappent des cages du zoo aux cochons qui mangent leurs reproducteurs, en passant par les épaulards qui détruisent les bateaux qui envahissent la mer – les animaux ne sont pas toujours en sécurité.‘accord : Inchingolo et Segantin nous raconteront des histoires qui nous inviteront à réfléchir sur notre relation avec les animaux et à parler d’évolution et de coexistence (19h, Séminaire épiscopal).
Alors rendez-vous à Andria pour participer à l’événement‘le seul festival culturel de notre pays qui célèbre le pouvoir transformateur et catastrophique du désespoir dans la littérature et la vie moderne et qui attire, comme chaque année, des écrivains, des acteurs, des journalistes, des musiciens et des artistes dans la ville des Pouilles. Le programme complet de l’événement sera disponible sur le site www.festivaldelladisperazione.it
Pour informations et billetterie à partir du 13/05/24 sur www.festivaldelladisperazione.it et au secrétariat du Festival situé via Largo Seminario 18 à Andria (9h30 – 12h30 / 16h30 – 20h30).
Le Festival est conçu et organisé par le Club des Lecteurs d’Andria. Nous remercions la Bibliothèque diocésaine de San Tommaso D’Aquino, l’Archiconfrérie de l’Immaculée Conception et les Presidi del Libro pour leur soutien ainsi que les partenaires Cristal Palace Hotel et Collettivo 32 pour leur collaboration.