Gênes, fans divisés sur Gudmundsson. Pour le garder, Vitinha doit être libéré

Gênes, fans divisés sur Gudmundsson. Pour le garder, Vitinha doit être libéré
Gênes, fans divisés sur Gudmundsson. Pour le garder, Vitinha doit être libéré

Le rendez-vous est fixé au 8 juillet. En attendant, ce sera un marché. Marché des managers et marché des fans qui s’amusent plus que jamais cette année, conscients qu’il n’est pas nécessaire de reconstruire mais seulement d’insérer les bonnes pièces. Ainsi, les rossoblù sur les réseaux sociaux jouent avant tout le rôle de directeur sportif et sont divisés, bien sûr bien sûr, sur certaines opérations possibles.

Ce qui occupe le devant de la scène, et il ne peut en être autrement, c’est l’avenir d’Albert. Gudmundsson. Ce qui semble destiné à quitter le Gênes, mais entre-temps, il passe des jardins Luzzati à la victoire au championnat Pro Recco, se montrant plus génois que les Génois eux-mêmes.

En réalité, le lutin islandais s’est inséré du mieux qu’il a pu dans le tissu urbain et se porte vraiment bien à Gênes. La seule attraction qui pourrait le déclencher est certainement celle de la Premier League, le rêve de presque tous les footballeurs et, malheureusement pour les supporters, aussi des clubs. Car, comme on l’a déjà vu avec Dragousine, de l’argent frais arriverait d’Angleterre pour que Gênes pour le moment, il ne peut pas se permettre de lâcher prise. Plus que pour le moment houleux du leader 777, des disputes économiques pourtant très classiques dans un monde de requins financiers, pour l’accord avec l’agence fiscale qui a permis la réduction de près de 70% de la dette mais oblige le club à en fermer deux. des séances de marché sur une note positive : celle déjà conclue en janvier dernier et celle qui s’ouvrira le 1er juillet prochain.

Et c’est combien de fans malgré le rêve d’un Gudmundsson toujours au rossoblù l’année prochaine, ils se préparent à ses éventuels adieux. Et ils le font en posant le dilemme tactico-économique : il vaut mieux laisser partir un joueur comme lui. Gudmundsson et investir dans Vitinha ou conserver l’islandais et réduire sa portée sur le marché ? Une question à laquelle tenteront de répondre les dirigeants de Rossoblù, qui jusqu’à présent ont très bien évolué entre des joueurs inconnus devenus idoles et des hommes du marché des transferts jusqu’à des prêts réussis et des succès déjà obtenus.

En fait, ces derniers mois, ils sont devenus totalement génois DeWinter, Thorsby, Bohinen et Malinovskyi, tout cela pour une dépense totale d’environ vingt millions d’euros, sachant que le paiement du défenseur belge se fera en plusieurs fois tandis que pour le milieu de terrain ukrainien les hommes du transfert rossoblù ont également obtenu une réduction en payant la rançon de 7 millions.

Tout à fait vrai Vitinha il est l’un des joueurs les plus appréciés des supporters malgré ses quelques apparitions cette saison, mais suffisant pour comprendre la valeur du joueur qui est immédiatement entré au cœur du Nord et au-delà. Toutefois, la rançon est actuellement fixée à 25 millions, mais les négociations avec Marseille ont déjà commencé et il n’est pas sûr que le prêt ne puisse être renouvelé, le transformant en onéreux avec une clause liée au rachat obligatoire mais à exercer lors des prochaines sessions de transfert lorsque les contraintes de cette année n’existeront plus. En fait, une telle opération pourrait même permettre au club d’éviter un sacrifice comme celui de Gudmundsson peut-être en essayant de transformer les nombreux joueurs qui reviendront des différents prêts en un trésor, des éléments qui ne semblent pas l’être, à l’exclusion des jeunes Marcandalli, s’inscrivent dans les projets de l’entreprise mais qui peuvent devenir des pièces prisées, par exemple en Serie B.

Par contre, l’autre joueur prêté, Spence, doivent être soigneusement évalués. Non pas d’un point de vue technique puisqu’elle a fait d’excellentes impressions, mais surtout d’un point de vue économique. Il a un salaire très élevé, dont une partie est actuellement payée par Tottenham, une rançon élevée, 8 millions et il faudra voir à la fois ses intentions et celles du club londonien. Le hashtag lancé par Kevin Strootman #rinnovateEkuban est très populaire sur les réseaux sociaux. L’Italo-Ghanéen est en fin de contrat et il est peu probable que Gênes puisse lui offrir le même salaire que par le passé, environ un million par saison, mais les parties négocient et, avec un contrat pluriannuel, elles pourraient trouver un accord à chiffres inférieurs.

Pendant ce temps, en relisant les données de fréquentation à domicile, des 30.697 de Genoa Lazio aux 33.275 de Genoa Napoli, les 19 matches des Ferrari ont toujours laissé une impression importante. Mais ce n’est pas un fait qui s’applique uniquement au divertissement, une partie des revenus des droits TV est en effet liée aux spectateurs payants qui étaient au total 78.881, ce qui, ajouté aux 27.777 abonnés de la saison, a amené 608.789 spectateurs à l’installation de Marassi et pourtant le Les Ferrari, nées en 1911 et rénovées pour Italia 90, commencent à montrer des signes de vieillissement.

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