Andria – Zone piétonne : l’île qui n’existe jamais. De plus en plus attaqués par les véhicules, motos, scooters et vélos électriques

On espérait et on espérait enfin avoir une île où les citoyens, petits et grands, en particulier les groupes les plus vulnérables, pourraient se promener ou s’arrêter en paix.

C’était malheureusement un rêve a disparu dans le néant de la permissivité et le manque de contrôles adéquats pour notre mauvaise éducation.

La police locale, comme le dira certainement le gérant et l’édile concerné, c’est avec un personnel réduitavec de nombreux problèmes plus urgents à gérer au quotidien (étrange mais quoi que vous signaliez, il y a toujours un problème plus urgent !).

Il semble donc que la vie des enfants et des nombreux adultes qui fréquentent et traversent quotidiennement la Via Crispi, Regina Margherita et Cavour, qui devrait être une zone de sécurité, compte moins qu’une voiture interdite de stationnement, sur laquelle activité Récemment, une attention particulièrement concertée a été portée aux contrôles et aux sanctions.

Faisons donc une liste de priorités d’intervention, afin que les citoyens puissent comprendre les infractions et leur importance selon notre force publique locale. Disons donc clairement qu’un policier ou autre agent des forces de l’ordre stationné en permanence dans des zones à circulation limitée, c’est trop demander.

Ces caméras sont désormais un outil obsolète. Que faire alors ? Les accidents plus ou moins signalés sont toujours en augmentation, mais l’administration, par la bouche du bon conseiller Colasuonno, réitère que Les vélos et trottinettes électriques doivent respecter le code de la route afin de ne présenter de danger pour personne» est-ce À ce jour, 156 conducteurs ont été verbalisés».

Mais cela ressemble à une déclaration qui ne satisfait pas, qui ne résout pas et qui implique une sorte de résignation face au phénomène qui se propage dans la ville. Il est encore plus clair qu’une partie importante des déplacements des véhicules électriques est liée au trafic de drogue.

Aucun espoir, donc, dans l’éducation de la population motorisée électriquement au respect des règles ni au respect de la loi par les nombreux véhicules qui, quels que soient les horaires prescrits, se déplacent à grande vitesse dans la zone piétonne, tant pour les livraisons que pour raccourcir. la route .

A ce stade, il semble essentiel, pour aider l’éducation, de relever la barre des contrôles et de la répression. Parfois, ces vieilles chères motos bruyantes nous manquent, mais qui au moins nous prévenaient de loin de leur arrivée.

Espérons que les nombreuses demandes des citoyens ne correspondent pas à la réponse institutionnelle habituelle et prévisible qui dit tout et rien.

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