On nous appelle « les autres ». La prochaine saison a déjà commencé

On nous appelle « les autres ». La prochaine saison a déjà commencé
On nous appelle « les autres ». La prochaine saison a déjà commencé

Malgré l’agacement suscité par les 5 autres buts marqués hier qui doivent se traduire par des indications utiles pour le marché, je rappelle à tous, dans le souci de les imprimer et de les garder clairement dans nos têtes, les déclarations publiées cette semaine par M. Massimiliano Farris, adjoint de Simone Inzaghi : “Il y a trois ans, lorsque lors du dernier match nous avons gagné à domicile contre la Sampdoria et que les autres ont gagné à Sassuolo et que notre championnat a été perdu, nous avons pleuré. Avant le derby retour, les joueurs se disaient “Rappelons-nous que nous avons pleuré à ce moment-là”. J’ai compris que les garçons avaient marqué le jour du derby pour remporter le scudetto dans le derby.” Bien. Il se trompe donc sur les années, deux et non trois. Et il nous appelle « les autres ». Bonne idée. Arrêt. Rien d’autre.

Je ne vais pas commenter, définir ou adjectif. Je collectionne mais je n’oublie pas. Mais je voudrais qu’aucun de nous n’oublie. Nous n’avons pas pleuré. Parce que nous étions tellement abasourdis, désorientés et énervés que nous avons oublié de le faire. Mais relisez-le, M. Farris, et relisez-le à nouveau. Ils ont vu Milan remporter le titre parfait en 2022 face à eux et ils n’ont pas perdu une seule minute. Ils ont bâti sur notre merveilleux Scudetto à chaque minute, à chaque instant de leur vengeance. Nous aussi devons être concentrés et clairs sur ce point. Quelques querelles de derby, quelques fouilles dans la cour. En Australie, où nous avons joué hier, dans le monde entier où nous avons été pendant des années le club le plus titré, ils s’en foutent. Sur la scène mondiale, il n’y a toujours pas eu de jeu et même les panneaux lumineux des tours chinoises ont été engloutis par le créancier en un rien de temps. Mais nous ne le faisons pas. Nous ne nous en soucions pas, bien sûr, nous devrions nous en soucier.

Ils partent déjà en tête, car ils ont gagné et sont restés unis malgré la lautaronovela. Alors qu’il y a deux ans, nous avons célébré quelques jours et avons immédiatement subi des polémiques et des discussions stériles. Mais pas maintenant. Nous sommes critiqués par tout le monde, mais nous sommes unis, bien sûr. Mais même si partout dans le monde nous sommes et restons l’AC Milan de Milan, 7 fois champion d’Europe et 4 du monde, à partir du mois d’août nous reviendrons rivaliser avec les autres, avec ceux qui nous rient au nez, avec ceux qui nous ne célébrons pas les limites sur les carcasses de notre terrible mois d’avril. Et nous devrons être là, durs, durs, méchants, jamais hystériques, jamais nerveux, mais laids, sinistres et pointus. Et pour y parvenir, il ne suffit pas de rester là à attendre le nom du nouvel entraîneur. Il ne suffit pas d’attendre le marché. Il ne suffit pas de se demander si tôt ou tard quelqu’un ira vérifier là-bas aussi et pas seulement nous.

Pour ce faire, nous devons regarder en nous-mêmes. Peu m’importe maintenant qui nous entraînera et qui viendra du marché des transferts (de rien, mais je suis très très confiant), le fait est que nous ne devons pas perdre une minute à partir de maintenant, à partir de maintenant, de maintenant. Regardons à l’intérieur. Simon et Oli, les leaders, ne sont plus là, mais malgré leur professionnalisme et leur exemple au sein du groupe, malheureusement en avril et mai on a mal, très mal, toujours mal et mal quand même. Si Théo et Rafa parviennent à grandir davantage, qu’il en soit ainsi. Mais c’est de la part de l’ensemble de l’équipe que j’aimerais voir mûrir une réaction interne cet été et la déchaîner sur le terrain à partir du mois d’août. Mike, il nous en faut plus. Davide, allez, avec l’affection habituelle, mais nous pouvons faire mieux. Malick et Pierre, que s’est-il passé cette année ? Fik et Isma, nous voulons que les gars du Scudetto reviennent.

On n’attend pas la prochaine saison, on la mord tout de suite, on l’attaque au plus profond de notre âme dès ces heures-là. La saison prochaine n’est pas “voyons ce qui se passe”. Non, la « saison prochaine », chers messieurs, il faudra aller mordre, prendre et manger. Comme si c’était la dernière de nos vies. Parce que les autres doivent revenir vers eux. Et nous devons revenir à la nature, comme l’Histoire l’enseigne et comme l’Histoire l’ordonne.

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