c’est déjà le plein d’alliances pour le scrutin

À à sept jours du vote pour les élections municipalesAlors que les forces politiques sont engagées dans la dernière étape de la campagne électorale pour le Palazzo Vecchio, en coulisses, toutes les alliances deviennent déjà folles en vue du second tour. Un scénario jugé quasi certain qui pousse les deux principaux candidats à la mairie, Sara Funaro pour l’éd. de centre-gauche Eike Schmidt pour le centre-droit, réfléchir à la meilleure stratégie pour remporter le consensus qui sera obtenu par les autres challengers au premier tour.

Et en même temps, cela fait bouger d’autres forces politiques pour tenter de ne pas être de simples spectateurs du second tour, en quête d’un accord – évident ou non – pour faire compter leur éventuel soutien. Dans une valse de clins d’œil et de positions médianes visant, des deux côtés, à laisser plus d’options ouvertes. En attendant également de mesurer concrètement le rapport de force au sommet et le poids spécifique des autres acteurs sur le terrain les 8 et 9 juin.

Le point de départ est la stratégie de la coalition de centre-gauche dirigée par Parti démocratequi après avoir raté le deal avec Italie Viva et a renoncé à celui de réserve avec le Mouvement 5 étoiles, Il faudra choisir de quel côté se tourner étant donné l’incompatibilité totale des deux forces politiques. L’indication naturelle serait, malgré le mécontentement interne généralisé à l’égard de cette option, en faveur des Renziens, tant pour garantir la survie de l’axe au niveau régional, que le candidat à la mairie Stefania Saccardi est l’adjointe d’Eugenio Giani, et pour la troisième place attendue. Mais le prix inconnu pèse lourd – la demande hivernale était celle de l’adjoint au maire, de deux présidents de quartier et du même nombre de filiales municipales – destiné à doubler à la mi-juin.

L’alternative Grillina incarnée par Lorenzo Masi, compte tenu également d’un bassin de voix certainement plus restreint, est toujours sur la table mais n’est pas considéré par le Parti démocrate comme suffisant pour assurer la victoire au second tour. La Florence démocrate, création de l’ancien conseiller, est aussi de la partie Cecilia Del Ré avec de nombreux transfuges du Pd, qui pourrait devenir la quatrième force, également renforcée par l’aval indirect du Tomaso Montanari. «Dire que nous ne nous exprimons pas ne veut pas dire que les rouges et les noirs sont les mêmes pour nous mais que ce n’est pas le moment de faire des prédictions», précise Del Re, à l’instar de Saccardi, rappelant que «notre histoire et notre programme parle de lui-même, nous sommes une force de centre-gauche mais on ne peut pas dire que nous serons alors disposés à conclure un accord avec ce parti. Un de ses candidats, Marco Tognettiil avait été plus clair : «La droite n’est pas une option sur la table».

Dans l’autre camp, le centre droit soutient Schmidt tente d’enrôler les Renziens en tirant parti d’un attrait modéré, seul espoir de conquérir la municipalité de Florence pour la première fois. Pendant Dimitrij Palagi du projet commun de gauche réitère son intention de rester dans l’opposition en tout cas, sans aucune affiliation. Les choix des quatre autres candidats sont imprévisibles mais probablement pas décisifs pour le résultat final : Andrea Asciuti, Alessandro De Giuli, Francesca Marrazza et Francesco Zini.

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